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MEXICO CITY - DU 21 AU 28 JANVIER 2015

Cathédrale Métropolitana qui domine la place principale, Zocalo. Construite en 1571 et achevée en 1813.

Intérieur de la Cathédrale: l'altar de los Reyes.

Museo mural Diego Rivera. Vaste fresque (15m x 4m) peinte en 1947 qui représente tous les personnages illustres du pays.

El torre Latino, 138m de haut. Construit en 1956, il fut le premier gratte-ciel tour de Mexico.

Coyoacan. Arbre à chewing gum ("chicles" en espagnol).

Coyoacan. "Petit" repas au marché, "el mercado".

Viveros de Coyoacan. Ecureuil qui fait son nid.

Anniversaire traditionnel au Mexique avec la fameuse piñata.

Banlieue colorée de la ville de Mexico.

Banlieue colorée de la ville de Mexico.

Museo Nacional de Antropología.

Museo Nacional de Antropología.

Museo Nacional de Antropología.

Museo Nacional de Antropología.

Museo Nacional de Antropología. Tête colossale de basalte caractéristique de la culture olmèque et représentant un chef.

Museo Nacional de Antropología. Statut représentant le chac-mool, intermédiaire entre l'homme et les dieux.

Museo Nacional de Antropología. Tenochtitlan est l'ancienne capitale de l'empire aztèque. Elle fut bâtie sur une île située sur le lac Texcoco. En 1521, les conquistadors espagnols, détruisirent une grande partie de la ville, puis y fondèrent Mexico, qui devint la capitale.

Museo Nacional de Antropología. La Piedra del Sol connue sous le nom de calendrier aztèque. Tout en basalte, elle pèse 24t et a été découverte sous le Templo Mayor en 1790.

Museo Nacional de Antropología.

Museo Nacional de Antropología.

Pyramides de Teotihuacán. A l'extrémité nord de "l'Avenue des morts" longue de 4km, s'élève la Pyramide de la Lune qui se dessine dans l'ombre du Cerro Gordo (grosse colline au second plan). Elle fut achevée vers l'an 250 après jc.

Pyramides de Teotihuacán. Jeanne et la Pyramide du Soleil.

Pyramides de Teotihuacán. Pyramide du Soleil, probablement achevée vers l'an 200 après jc. Elle est la plus grande pyramide d'Amérique et mesure 215m de côté et 63m de haut.

Pyramides de Teotihuacán.

Pyramides de Teotihuacán.

Pyramides de Teotihuacán. Ascension de la pyramide du soleil.

Pyramides de Teotihuacán.

Pyramides de Teotihuacán. Vu de la pyramide du soleil depuis l'avenue des morts.

Pyramides de Teotihuacán. Vu de la pyramide de la lune depuis l'avenue des morts.

Pyramides de Teotihuacán.

Pyramides de Teotihuacán.

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Pyramides de Teotihuacán.

Pyramides de Teotihuacán. Templo de Quetzalcoatl dont la façade est greffée de dizaines de têtes de serpent à plumes et de masques de Tlaloc, le dieu de la pluie.

Pyramides de Teotihuacán. Templo de Quetzalcoatl .

Pyramides de Teotihuacán. Serpent à plumes.

Basilique circulaire Nuestra Señora de Guadalupe. Elle fut construite de 1974 à 1976 pour accueillir 15 000 fidèles.

Intérieur de la Basilique Nuestra Señora de Guadalupe.

Ascension vers le sommet du mont Tepeyac.

Armée mexicaine en répétition dans le parc de Chapultepec.

Anniversaire de Bastian. De gauche à droite : Romain, Gabriela, Bastian, Stefenn et Jeanne. Avec un grand merci à Romain et Gabriela pour nous avoir accueilli à bras ouverts.

Xochimilco. Le site est inscrit au Patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1987. C'est une zone très touristique en raison de la présence d'un réseau de canaux sillonnés par des barques (« trajineras ») et de jardins flottants appelés. Aujourd'hui ce lieu est menacé par l'urbanisation sauvage (lien vers l'article).

Xochimilco. Il est le seul endroit au monde où il y a plus de fêtes que de jours dans l'année. Nous avons ainsi pu passer une fête inoubliable avec une trentaine de couchsurfeurs du DF et du monde entier (un grand merci à Emmanuel). Plus de deux mois après notre arrivée au Mexique nous revenons au DF pour accueillir Gaël, un amis breton!

Xochimilco. Ca rame fort!

Les nouvelles photos, vidéo et le bilan, c'est par ici!

ETAT DE COLIMA - DU 29 JANVIER AU 12 FEVRIER 2015

Colima. Marché de Colima et ses couleurs.

Colima. Perritos Colimotes, symbole préhispanique de la région, devant la mairie.

Colima. Jardin Libertad: jardin colonial typiquement mexicain.

Cuyutlan. Ici on produit du sel de façon artisanale, c'est l’un des rares endroits qui maintiennent le processus original de fabrication du sel, datant de la fin du XVIIIe siècle.

Cuyutlan. Estero Palo Verde, parc national de 198km2, comptant plus de 75 espèces animales et 700 plantes différentes.

Cuyutlan. Estero Palo Verde.

uyutlan. Sanctuaire El Tortugario: centre écologique qui a pour mission de protéger les espèces en voie d'extinction.

Cuyutlan. Sanctuaire El Tortugario: Jeanne en train caresser une tortue géante.

Cuyutlan. Sanctuaire El Tortugario.

Cuyutlan. Plage de Cuyutlan, connue par les surfeurs.

Cuyutlan. Plage de Cuyutlan au coucher du soleil.

Cuyutlan. Notre dortoir 5 étoiles pendant 2 jours. Au menu: lit king size, araignées géantes, moustiques, pluie tropicale...

Cuyutlan. Train de marchandises

Cuyutlan. Les aurevoirs aux portes de la ville.

Manzanillo. Sculpture représentant un espadon sur la place principale, mesurant 25m de haut , 30m de large et 70 tonnes. Manzanillo est le plus grand port commercial de la côte Pacifique ainsi que la capitale mondiale de la pêche à l'espadon.

Manzanillo. Pelicans pêchant sur la plage de Santiago.

Manzanillo. Universidad Tecnológica de Manzanillo: une journée avec les étudiants et l'association Paleui pour échanger en français sur notre culture et présenter notre projet.

Entre Manzanillo et la ville de Colima. Jeanne s'essayant à la conduite d'un camion.

Entre Manzanillo et la ville de Colima. Le meilleur stop jusqu'à aujourd'hui avec Juan Carlos.

Villa de Alvarez. Début des 2 semaines de festivités en l'honneur de San Felipe de Jesus.

Villa de Alvarez. Défilé de tous les ranch de la région.

Villa de Alvarez. Défilé des ranch.

Villa de Alvarez. Stefenn s'essayant à l'équitation.

Villa de Alvarez. Cavalière en robe traditionnelle.

Villa de Alvarez. Super rencontre: Miguel et Léo propriétaires d'un ranch sur Colima. Nous avons passé notre journée avec ces muchachos autour d'un bon repas, de cervezas et de musique mexicaine.

Villa de Alvarez. La petatera est une arène artisanale qui est montée chaque année depuis un siècle et demi dans cette ville. Cette plaza de toros constituée de bois, de cordes et de nattes en toile de jute (d’où son nom : petate = natte) possède l’une des pistes les plus grandes du monde et peut accueillir près de 5000 spectateurs (voir plus).

Villa de Alvarez. Jardin principal de la ville. Villa de Alvarez fait partie du Patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Cette ville est connue pour son Eglise San Fransisco de Asis (visible sur la photo).

Ville de Colima.

Ville de Colima

Volcan de Colima. Le volcan Colima est l'un des les plus actifs du Mexique. Il culmine à 3 860 mètres d'altitude et surplombe le parc national Nevado de Colima.

Villa de Alvarez. En route vers le volcan de Colima.

La Becerrera. Restaurant construit à partir de pierres volcaniques.

Laguna de Maria. Connue pour sa végétation typique des régions montagneuses.

Laguna de Maria. Volcan de Colima fumant au second plan.

Suchitlan. Petite ville typique.

Colima. On se fait beau avant de reprendre la route!

ETAT DE JAlISCO - DU 13 FEVRIER AU 27 FEVRIER 2015

La Manzanilla. Réserve naturelle.

La Manzanilla. Crocodile lézardant dans la lagune.

La Manzanilla. Couché de soleil sur la baie.

La Manzanilla. Couché de soleil sur la baie.

La Manzanilla. Petit déjeuner les pieds dans le sable avant de reprendre la route.

La Manzanilla. Camping au bord de la plage.

La Manzanilla. Début du stop pour Puerto Vallarta. Jeanne ne souriant plus au bout de la 20 ème photo ratée.

Puerto Vallarta. Vue de la vieille ville et ses toits de tuile rouge. Au milieu, la paroisse coiffée d'une reproduction géante de la couronne de l'impératrice Charlotte. Près de 20 % de la population active de Puerto Vallarta est composée d'Américains et de Canadiens.

Puerto Vallarta. Paroisse de Nuestra Señora de Guadalupe.

Puerto Vallarta. Une des nombreuses églises de la ville.

Puerto Vallarta. Panorama des hauteurs de la ville.

Puerto Vallarta.

Puerto Vallarta. Couché de soleil sur la baie de Puerto Vallarta, plus grande baie du Mexique.

Puerto Vallarta. Promenade sur le malecon (promenade des anglais locale).

Puerto Vallarta. Le malecon

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Puerto Vallarta. Avec nos amis couchsurfing, Edgar, Brigitte et Manuel. Merci pour cette superbe semaine.

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Sayulita. Pélicans prenant un bain de soleil.

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Sayulita. Plage paradisiaque.

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Sayulita.

Litibu. Avec Edgar après une petite baignade dans les rouleaux.

Punta de Mita. On est bien bien bien bien bien.

Punta de Mita.

Boca de Tomatlán. Charmante petite crique avec seulement quelques paillotes où l'on peut déguster des fruits de mer.

Boca de Tomatlán.

Boca de Tomatlán. Début de notre randonnée pour rejoindre la prochaine plage.

Boca de Tomatlán. Petite pause pour admirer la vue.

Boca de Tomatlán. Petite crique paradisiaque et quasi déserte.

Boca de Tomatlán.

Las Animas. On se relaxe et on admire!

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Las Animas.

Las Varas. Felipe et sa femme Maria, qui nous ont pris en stop sur 200km. Après l'effort, le réconfort autour d'une bonne pastèque!

Tequila. Village dédié à la boisson nationale, désormais célèbre dans le monde entier. La consommation a été multipliée par 15 entre les années 1970 et 2000! A tel point que la région a connu une grave crise de sous production de l'agave bleu, dont on tire le précieux nectar. A Tequila, rien moins que 18 distilleries dont les 2 leaders nationaux: Cuervo et Sauza. La ville et la région plantée d'agaves sont inscrites au Patrimoine mondial de l'Unesco.

Tequila. Impressionnante fresque représentative de la ville Tequila.

Tequila. Le corbeau, emblème de la distillerie de José Cuervo.

Tequila. Tonneaux de Tequila: ça donne envie d'y goûter!

Amatitán. Visite de la distillerie Herradura: l'agave bleu.

Amatitán. Visite de la distillerie Herradura: processus de distillation.

Amatitán. Visite de la distillerie Herradura: ancien processus de distillation.

Amatitán. Visite de la distillerie Herradura: fin de la visite, c'est le temps de la dégustation.

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Amatitán. Visite de la distillerie Herradura: réserve de Tequila, il y a de quoi faire une sacrée fiesta!

Guadalajara. Au second plan la cathédrale dont la construction se termina en 1618. Au premier plan, nous avec des danseurs traditionnels supportant l'En Avant de Guingamp.

Guadalajara. Cathédrale de Guadalajara.

Guadalajara.

Guadalajara. Palacio de Gobierno. Célèbre peinture murale d'Orozco de 400 m2. Au centre d'une humanité écrasée par les guerres, les tragédies, la religion hypocrite et les idéologies totalitaires, se dresse Hidalgo, le grand héros initiateur de la révolution mexicaine.

Guadalajara. Teatro Degollado de style néoclassique.

San Pedro Tlaquepaque. Mariachis en fer forgé.

Zapopan. Une matinée pasée avec des élèves de 11 ans à 14 ans de l'école de Secundaria Summerhill, los Belenes, à échanger sur la culture française et mexicaine.

Tapalpa. Las Piedrotas, météorites tombées il y a un peu plus de mille ans.

Tapalpa. Las Piedrotas.

Tapalpa. Las Piedrotas.

Tapalpa. Las Piedrotas. Nous escaladant pour arriver au sommet.

Tapalpa. Depuis la place principale, se dresse la paroisse San Antonio de Tapalpa datant du XVIIe siècle.

Tapalpa. Couché de soleil sur la ville.

Tapalpa. Avec Monica et Alvaro, nos hôtes pendant une semaine à Guadalajara et rencontrés lors d'un stop entre La Manzanilla et Puerto Vallarta. Un grand merci à eux deux.

Ajijic. Maison colorée typique de la ville.

Ajijic. Fresque murale très colorée.

Ajijic. Sur les bords du lac Chapala, plus grand lac du Mexique avec une superficie de 1100 km2 pour 80 km de long.

Ajijic. Sur les bords du lac Chapala.

Ajijic. Place principale (Zocalo)

Ajijic. Fresque représentant Zapata et Poncho Villa qui furent les principaux acteurs de la révolution mexicaine de 1910.

VILLES COLONIALES/ 1ère PARTIE - DU 28 FEVRIER AU 11 MARS 2015

Zacatecas. Repas d'anniversaire de Stefenn pour ses 25 ans dans le meilleur restaurant de la ville: Los Dorados de Villa. Le nom de ce restaurant est en fait le surnom donné à l'armée du révolution Pancho Villa.

Zacatecas. La ville s'illume tous les soirs la nuit tombée pour mettre en valeur les monuments historiques. Cette ville est un petit joyau de l'architecture coloniale caché parmi les collines désertiques, à 2500m d'altitude.

Zacatecas. La cathédrale dont la façade principale en grès rose est considérée comme l'un des chefs d'oeuvre du baroque mexicain. Sa construction s'est achevée en 1752.

Zacatecas. La cathédrale et "el Palacio de Gobierno" sur la gauche.

Zacatecas. Cerro de la Bufa, une imposante colline qui surplombe la ville.

Zacatecas. Petite pause dans les rues de la ville.

Zacatecas. Ruines de l'ancien couvent San Francisco érigé par les franciscains au XVIe siècle pour évangéliser les peuples indigènes.

Zacatecas. Musée Rafael Coronel installé dans les ruines de l'ancien couvent San Francisco. A l'intérieur une collection de plus de 2500 masques. A l'origine les masques étaient destinés au sacerdoce, aux fêtes cérémonieuses ou à la guerre comme symbole distinctif des dieux que le porteur vénère.

Zacatecas. Musée Rafael Coronel: les masques sont faits en bois, peau, en papier mâché ou en pierre.

Zacatecas. Musée Rafael Coronel: Rafael Coronel (1949-1999) était un artiste et peintre mexicain.

Zacatecas. Musée Rafael Coronel: je te tiens, tu me tiens, par la barbichette...

Zacatecas. Musée Rafael Coronel: les jardins du couvent, quasi un labyrinthe..

Zacatecas. Musée Rafael Coronel.

Zacatecas. Pratique pour descendre plus vite!

Zacatecas. Depuis le balcon de notre auberge de jeunesse. A gauche le marché Gonzalez Ortega et à droite la cathédrale.

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San Luis Potosi. Temple San Francisco avec une façade baroque datant de la fin du XVIIe siècle.

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San Luis Potosi. Palacio Municipal. La Catrina, une figure familière de la fête des morts au Mexique.

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San Luis Potosi. Avec Anna Luisa qui nous a hébergé durant ces quelques jours passés à San Luis Potosi. Un grand merci à toute la famille.

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San Luis Potosi. Une matinée passée à l'école secondaire (collège) de l'Apostolica afin d'échanger avec les élèves sur la culture française et mexicaine, ainsi que sur notre voyage. Un grand merci à eux. www.apostolica.mx

Matehuala. Sur la route avec Paulo qui nous a pris en stop sur près de 195 km pour rejoindre Real de Catorce.

Real de Catorce. Perdu aux portes du désert et perché à 2750 m d'altitude ce village a été oublié du monde pendant près d'un siècle. Depuis que la gare est désaffectée, le seul accès possible se fait par un tunnel de 2km creusé à même la roche et qui traverse la montagne de part en part.

Real de Catorce. Le village aux ruelles escarpées et défoncées a été l'une des villes minières les plus prospères de la Nouvelle-Espagne, fondée en 1778, quelques années après la découverte d'importans gisements d'or et d'argent.

Real de Catorce.

Real de Catorce. En arrière plan "el Templo de la Purisima Concepcion". Terminée au début du XIXe siècle, elle a été construite grâce aux dons en argent des mineurs.

Real de Catorce.

Real de Catorce. El pueblo fantasma: les ruines d'un petit village fantôme.

Real de Catorce. El pueblo fantasma. La nature fait bien les choses!

Real de Catorce. El pueblo fantasma.

Real de Catorce. El Quemado: Chaque années, les indiens Huicholes effectuent une longue marche depuis les terres de Jalisco et de Nayarit pour venir célébrer ici un de leurs rituels séculaires: la communion avec leur dieu Hikuri et le peyolt, ce fameux cactus hallucinogène.

Real de Catorce. El Quemado: Pour la culture huichole, le peyolt n'est pas une simple drogue: il constitue un élément de rituel sacré.

Real de Catorce. El Quemado: Cette région (Wirikuta en huichol) qui inclut une partie du désert, est sacrée, considérée comme la terre de leurs dieux. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'ils n'y vivent pas. Mais, tous les ans depuis des siècles, ils viennent ici sur les traces du Grand Esprit, le Venado (le cerf), qui est représenté par le cactus, consommé lors des cérémonies.

Real de Catorce. El Quemado.

Real de Catorce. El Quemado.

Real de Catorce. Prête pour une journée de stop, 500 km a effectuer!

Real de Catorce. Et c'est parti! on quitte la ville en pick-up, 25 km de pavé, 1h de trajet dans la vallée.

Real de Catorce.

Etat de San Luis Potosi. La Huasteca Potosina. Au milieu de nul part, entre Naranjo et Ciudad Valles, très peu de voitures, on patiente comme on peut!

Etat de San Luis Potosi. La Huasteca Potosina. On compte 4 grandes usines de cannes à sucre. Très polluantes, elle sont implantées en plein milieu de la nature.

Etat de San Luis Potosi. La Huasteca Potosina. Cascade de Micos, à 15 km de Ciudad Valles.

Etat de San Luis Potosi. La Huasteca Potosina. Cascade de Micos, à 15 km de Ciudad Valles.

Etat de San Luis Potosi. La Huasteca Potosina. La cascade de Tamul mesurant 105 mètres de hauteur et une profondeur de 300 mètre. Elle est placée au sud-ouest de Ville de Ciudad Valles, dans la municipalité d'Aquismón.

Etat de San Luis Potosi. La Huasteca Potosina. La cascade de Tamul mesurant 105 mètres de hauteur et une profondeur de 300 mètre. Elle est placée au sud-ouest de Ville de Ciudad Valles, dans la municipalité d'Aquismón.

Etat de San Luis Potosi. La Huasteca Potosina. Cascade de Tamul. Faut pas avoir le vertige!

Etat de San Luis Potosi. La Huasteca Potosina. Cascade de Tamul.

Etat de San Luis Potosi. La Huasteca Potosina. Rivière Tampaón.

Xilitla (Las Pozas). Jardin de sculptures d'Edward James créé entre 1962 et 1984. Il s'étend sur plus de 32 ha et comprend un réseau de cascades naturelles et d'étangs. Pas moins de trente-six constructions inachevées s’intègrent étonnamment à la nature tropicale environnante. Ce jardin est également le lieu du tournage du clip "We are the people" d'Empire of the sun.

Xilitla (Las Pozas). Jardin de sculptures d'Edward James. Au début des années 1940, le poète britannique Edward James s'installe à Los Angeles et où il désire y monter un Jardin d'Éden puis il se rend compte que le Mexique est nettement plus romantique pour y construire ce jardin.

Xilitla (Las Pozas). Jardin de sculptures d'Edward James.

Xilitla (Las Pozas). Jardin de sculptures d'Edward James. Un peu de relaxation.

Xilitla (Las Pozas). Jardin de sculptures d'Edward James.

Xilitla (Las Pozas). Jardin de sculptures d'Edward James. Yoga time!

Xilitla (Las Pozas). Jardin de sculptures d'Edward James. Toboggan naturel.

Xilitla (Las Pozas). Jardin de sculptures d'Edward James.

Xilitla (Las Pozas). Jardin de sculptures d'Edward James.

Xilitla (Las Pozas). Jardin de sculptures d'Edward James.

Xilitla (Las Pozas). Jardin de sculptures d'Edward James.

Xilitla (Las Pozas). Jardin de sculptures d'Edward James.

Xilitla (Las Pozas). Jardin de sculptures d'Edward James.

Xilitla (Las Pozas). Jardin de sculptures d'Edward James.

Real de Catorce - 7 mars 2015 : pris en stop pour sortir de la ville

VILLES COLONIALES/ 2ème PARTIE - DU 12 MARS AU 29 MARS 2015

Bernal. Au fond se dresse l'imposante Peña de Bernal, une formation rocheuse d'environ 300 mètres de haut. Ce monolithe de la Sierra Gorda est le troisième plus grand du monde.

Querétaro. A 220 km au nord de Mexico, Querétaro et ses quelques 3000 édifices historiques. Le centre historique, inscrit au Patrimoine mondial de l'Unesco, est un délice, les demeures coloniales aux couleurs chaudes bordent les rues piétonnes, pavées d'énormes dalles, et des places ombragées comme sur cette photo où il fait bon de s'arrêter quelques instants.

Querétaro. Eglise et couvent Santa Cruz. Son histoire mouvementée remonte à sa création vers 1650, à l'emplacement même d'un combat qui opposa Espagnols et Indiens. Une apparition miraculeuse de Saint Jacques aurait donné un sacré coup de main aux premiers pour soumettre et évangéliser les seconds. Pour ce qui est du couvent on peut trouver dans le jardin de curieux arbres à épines en forme de croix, dont l'origine légendaire est assez floue.

Querétaro. Marché artisanal avec deux femmes vétues de leur habit traditionnel.

Querétaro. Les rues colorées de la ville la plus propre du Mexique.

Querétaro. Museo regional. Dans un ancien monastère franciscain commencé au XVIe et achevé au XVVIIIe s. Superbes cours intérieures ornées de colonnes sculptées. Ce musée relate l'histoire de la région à travers une riche collection de peintures religieuses des XVIIe et XVIIIe s, de mobilier baroque, de pièces archéologiques et des objets préhispanniques.

Querétaro. Fontaine de Neptune. Elle fut créée par l'architecte originaire de la ville de Celaya, Francisco Eduardo Tresquerras sur la demande de la mairie de Querétaro. A l’origine elle se localisait à l’intérieur du verger du Couvent de San Antonio puis elle fut déplacée dans le jardin de Santa Clara.

Querétaro. Le Cerro de las Campanas est d’une grande importance historique car c’est ici qu’eut lieu le dénouement de la lutte qui opposait les défenseurs de la République contre ceux de l’Empire. En effet, c’est ici que l’Archiduc autrichien Maximilien de Habsbourg fut fusillé en même temps que les Généraux Miguel Miramón et Tomás Mejía. C’est évènement fut à l’origine de la période connue comme “Restauration de la République”. Au second plan, la gigantesque statue de Benito Juarez.

Querétaro. Santa Rosa de Viterbos. L'extérieur exubérant ressemble à un gigantesque décor de théâtre.

Querétaro. Spectacle de rue du dimanche soir.

San Miguel de Allende. Située à 1850 m d'altitude, cette belle ville coloniale, classée Monument historique et inscrite au Patrimoine mondial de l'Unesco en 2008, a charmé de nombreux artistes américains venus dans les anénes 1940 suivre les cours du muraliste Siqueiros. Le charme du vieux centre colonial, avec ses rues empierrées et bordées de superbes maisons est un peu gaché par la surabondance de galeries d'art, de boutiques, de restos, ... .

San Miguel de Allende. Au second plan, "El templo de la Concepcion": construit au milieu du XVIIIe s, il faisait partie de l'ancien monastère du même nom. Ce n'est qu'à la fin du XIXe s que fut ajouté le dôme de l'église par Zeferino Gutiérrez, qui trouva son inspiration dans la grandeur des Invalides de Paris.

San Miguel de Allende. Les rues colorées de la ville, où il fait bon de s'y promener.

San Miguel de Allende. Escuela de Bellas Artes, centro cultural El Nigromante. Cet ancien couvent qui comprenant l'église de la Concepcion, accueille aujourd'hui le centre culturel ainsi que l'école de beaux-arts. Bel ensemble architectural aux couleurs ocre. Le patio foisonne d'arbres et de plantes tropicales. Un lieu plein de spiritualité où l'on peut y admirer des peintures, sculptures, des cours de danse, ... .

San Miguel de Allende. Escuela de Bellas Artes, centro cultural El Nigromante. Exposition gratuite dans cet ancien couvent.

San Miguel de Allende. Repas typiques au marché (sauf les frites), un délice!!

San Miguel de Allende. Nous avons dormi 2 nuits chez un artiste ukrainien, Andrew Osta, venu vivre ici pour vendre ses peintures. Un lieu très agréable comme vous pouvez le voir et ce n'est rien comparé au reste de la maison remplie de ses tableaux. www.AndrewOsta.com

San Miguel de Allende. Parroquia de San Miguel Arcangel: étrange édifice commencé en 1578 puis maintes fois remanié, notamment à la fin du XIXe s, dans un style gothique, par Zeferino Gutierrez, architecte d'origine indienne imprégné de l'esprit des cathédrales européennes. Son clocher ressemble à la Sagrada Familia de Gaudi. Ses tours roses dominent le centre ville, et la façade et superbement mise en valeur par des éclairages nocturnes.

Guanajuato. Enchassée dans plusieurs collines, cette ville recèle de charmes. Tout le centre historique est piéton et on prend plaisir à s'y perdre pour y découvrir de charmantes places arborées, de superbes fontaines, des balcons en fer forgé ou encore des corniches sculptées.

Guanajuato. La ville vit aussi sous terre. Cet ancien centre minier, le plus important au monde à l'époque coloniale, est un véritable gruyère dans lequel on circule à travers un dédale de rues souterraines.

Guanajuato.

Guanajuato. La ruelle du baiser: le maire avait réussi a créer la polémique en interdisant, sous peine de prison, les baisers et tout autre type d'effusion affective dans les lieux publiques.

Guanajuato. Basílica Colegiata de Nuestra Señora de Guanajuato. Cette basilique du XVIIe s dévore la plaza de La Paz par son architecture baroque imposante. Les ornements intérieurs, peintures, balcons, lustres et statues, en font l'une des plus belles églises de la région.

Guanajuato. Les rues colorées de la ville.

Guanajuato. Le Mercado Hidalgo est un imposant bâtiment qui à l’origine devait abriter une gare ferroviaire. Aujourd'hui il abrite le principal marché de la ville de Guanajuato. Oeuvre de l’architecte Ernesto Brunel, le Marché Hidalgo a été inauguré le 16 Septembre 1910 par le président Porfirio Diaz lors de la célébration du premier centenaire de l’Indépendance du Mexique.

Guanajuato. Museo de las momias. Les momies de Guanajuato résultent de la momification naturelle d'un certain nombre de cadavres inhumés lors d'une épidémie de choléra autour de Guanajuato au Mexique en 1833. Les momies furent découvertes dans un cimetière de Guanajuato, faisant de la ville l'une des plus grandes attractions touristiques du Mexique.

Guanajuato. Le plus étrange est la momie de la mère enceinte et de son fœtus. Ce qui est exceptionnel car aucun musée dans le monde ne possède de momie d'un foetus. La mère enceinte à l’âge de 40 ans est décédé de malnutrition.

Guanajuato. Le Panthéon: c'est ici qu'ont été exhumées les momies.

Guanajuato. Depuis les hauteurs de la ville, une vue panoramique!

Guanajuato. Monument au Pipila: Ce monument a été construit en honneur à Juan José de los Reyes Martínez, surnommé El Pípila, lequel en incendiant la porte de la Alhóndiga de Granaditas, réalisa un acte héroïque le 28 Septembre 1810 durant la première bataille de la Guerre d’Indépendance du Mexique. v

Guanajuato. Museo Iconográfico del Quijote. Ecrit par Miguel de Cervantes Saavedra, Don Quichotte de la Mancha est l’une des oeuvres littéraires les plus célèbres et par conséquent l’une des plus lues dans le monde. Inauguré en 1987 en plein cœur du centre ville de Guanajuato, le Musée Iconographique de Don Quichotte de la Mancha, rend hommage à cet ingénieux personnage.

Guanajuato. Museo Iconográfico del Quijote. Logé dans une ancienne demeure de style européen du XVIIIè siècle, il possède une collection de plus de 800 objets. Ici, les statues de Sancho Panza, écuyer et compagnon d'aventures de Don Quichotte.

Guanajuato. Museo Diego Riviera. C'est la maison où le peintre Diego Riviera a passé la première partie de son enfance. Nous avons trouvé une peinture de cet artiste représentant une bretonne! Cette peinture date de son cours séjour en France.

Guanajuato. El Teatro Juárez a été inauguré en 1903 par Porfirio Díaz et mêle savamment les styles néoclassique, colonial et mauresque. Sa façade à colonnes doriques est ornée de statues, son foyer illustre l'Art nouveau, et sa décoration intérieure est pour le moins exubérante.

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Guanajuato. Couché de soleil sur la ville.

Guanajuato. Nos hôtes Geraldine et Carlos. Merci beaucoup pour votre accueil, on a passé une superbe semaine!! Ps: merci pour la soirée de découverte de la vie nocturne!

Guanajuato. Ce bus sortait de l'ordinaire, on peut y voir l'histoire de la ville à l'intérieur.

Morelia. Toute de pierre rosée vêtue, cette ville renferme d'authentiques merveilles architecturales. Son centre historique est d'ailleures inscrit au patrimoine mondiale de l'Unesco depuis 1991. On peut y admirer les façades du XVIIIe siècle et pénétrer dans les patios des édifices publics. Capitale de l'Etat du Michoacan, Morelia en est la ville la plus sûre.

Morelia. Le 18 mai 1541, Antonio de Mendoza, vice-roi de Nouvelle-Espagne fait donner l'ordre de fonder la ville de Nueva Ciudad de Mechuacán. En 1578, le nom change pour Valladolid et, depuis 1828, se nomme Morelia en l'honneur de José María Morelos héros de l'indépendance du Mexique, né dans cette cité le 30 septembre 1765 .

Morelia.

Morelia.

Morelia. Palacio de Gobierno. Ancien séminaire construit en 1750. Au fond, vous pouvez apercevoir les peintures murales du peintre Alfredo Zalce sur l'histoire du Mexique.

Morelia. Santuario de Nuestra Senora de Guadalupe. Construite en 1656, cette église est un feu d'artifice de couleurs vives. Les plafonds et les murs sont peints en rouge, jaune et fuchsia.

Morelia.

Morelia. Cette aqueduc a été construit en 1785 pour deux raisons: approvisionner la ville en eau potable suite à une terrible sécheresse de deux ans et offrir des emplois aux habitants de la région. Il est constitué de 253 arcs et mesure 1810 mètres de longueur.

Morelia. Palacio Clavijero: bâtiment datant du XVIIe s. Avant d'abriter la bibliothèque de l'université du Michocan, il a servi de collège jésuite.

Morelia. Soirée d'inauguration de la 13e édition du festival de jazz du Michoacan dans l'ex-convento del Carmen (Casa de la cultura).

Pátzcuaro. Les rues de la ville aux couleurs de la semaine sainte. C'est une ville de tradition, fondée par les anciens habitants Purhépechas et culturellement enrichie par les colonisateurs comme l'évêque Vasco de Quiroga, où l'on peut trouver de belles rues pavées et ses bâtiments de style colonial.

Pátzcuaro. Ex-couvent de San Augustin, construit en 1576, qui a conserve le temple actuellement utilisé comme bibliothèque publique.

Pátzcuaro. La grande place décorée à l'occasion de la "semana santa". Semaine Sainte, selon la tradition de l'Eglise catholique romaine, commence avec le dimanche des Rameaux, quand Jésus entre à Jérusalem et est reçu avec des feuilles de palmier.

Pátzcuaro. "La danza de los Viejitos" (danse du vieil homme) est une danse espagnole dans laquelle des vieillards dansent autour d'un feu de camp à la tombée de la nuit. La danse, originaire du Michoacán au Mexique, dérive d'une ancienne tradition. C'est une parodie des descendants des Conquistadors. La danse met en scène la sagesse et l'expérience des anciens. Les danseurs portent en général un masque de vieillard, comme sur la photo.

Erongarícuaro.

Quiroga. Ville artisanale où l'on peut trouver les prix les plus attractifs de l'Etat du Michoacan.

Pátzcuaro. Le lac de Pátzcuaro comprend plusieurs îles, dont la principale, Janitzio (voir ci-dessus) et un village de pêcheurs touristique surmonté de la statue de José María Morelos, l'un des pères de l'Indépendance du Mexique. La région du lac était le cœur du royaume tarasque jusqu'à l'arrivée des conquistadors au XVIe siècle.

Pátzcuaro. Arrivée sur l'île de Janitzio.

Pátzcuaro. Ile de Janitzio. La statue de José Maria Morelos mesure 20m de haut.

Pátzcuaro. Ile de Janitzio. Du belvédère qui entoure le monument, le panorama, est magnifique.

Pátzcuaro. Pêcheur traditionel du lac très polué de Pátzcuaro. Au menu: poisson blanc à la chair réputée qui malheureusement se raréfie, victime d’une pêche excessive.

Pátzcuaro. Depuis le ranch de la famile Ramirez, paysage montagneux aux alentours de Pátzcuaro.

Pátzcuaro. C'est l'heure du repas pour les oies.

Pátzcuaro. Un grand merci à la famille Ramirez pour ces quelques jours passés à Pátzcuaro.

ETAT DE VERACRUZ - DU 6 AVRIL AU 12 AVRIL 2015

El Tajín. Site précolombien le plus important et le mieux conservé de la région littorale du golfe du Mexique. Il est inscrit au Patrimone mondial de l'Unesco depuis 1992. C'est le grand centre de la culture Totonaque dont les descendants vivent toujours aux alentours.

El Tajín. Près de 50 édifices ont été restaurés et sont visibles, ce qui représente à peine plus de 10% du site. La plupart des murs de ces édifices étaient peints en rouge, bleu et noir.

El Tajín. Elle a connu son apogée entre le début du IXe siècle et le début du XIIIe siècle. Elle occupe une importance considérable entre la chute de Teotihuacán et de l'émergence de Tenochtitlán.

El Tajín. Cette ville de 25000 habitants était un grand centre politique et religieux qui aurait reçu de nombreuses influences de Teotihuacán et répandit les siennes jusque vers les zones Maya.

El Tajín. Derrière nous se dresse la pyramide des niches élevée sur 7 niveaux avec au total 365 niches célébrant le calendrier solaire. Les niches étaient peintes en noir, tandis que cette pyramide était recouvert de rouge. Désormais nous sommes 3 avec Gaël, un ami de Saint-Brieuc, qui nous a rejoint pour 2 mois.

El Tajín.

El Tajín. Danza de los Voladores. Ce rituel se compose d'une danse et de l'escalade d'un poteau de 30 mètres à partir duquel quatre des cinq participants s'attachent les jambes à des cordes avant de se lâcher dans le vide en tournant et en descendant progressivement vers le sol. Le cinquième reste au-dessus du mât, en dansant et en jouant de la flûte et du tambour.

Xalapa. Musée d'anthropologie. Tête olmèque. Inauguré en 1986, il est le deuxième musée le plus grand du Mexique.

Xalapa. Musée d'anthropologie. Les têtes colossales olmèques sont des sculptures monolithiques représentant des têtes humaines en ronde-bosse de grande taille. Taillées dans des rochers en basalte, elles datent au moins de 900 av. J.-C. et sont représentatives de la civilisation olmèque en Mésoamérique. Les 7 têtes olmèques de ce musée, sont des originales du site de San Lorenzo (état de Veracruz).

Xalapa. Musée d'anthropologie. Il possède 1500 pièces d'art préhispanique racontant plus de 3 millénaires d'histoire.Les civilisations de la côte du golf du Mexique y occupe logiquement une place prépondérante: Olmèque, Huaxteca et centre de l'Etat de Véracruz.

Xalapa. Musée d'anthropologie.

Xalapa. Musée d'anthropologie.

Xalapa. Musée d'anthropologie.

Xalapa. Musée d'anthropologie.

Rafting Actopan. Nous avons descendu la rivière Actopan sur 15 km.

Rafting Actopan. Stefenn est content!

Veracruz. Le malecon. Le port de Veracruz est le plus important du Mexique. Jusqu'en 1760 il était le seul autorisé à pratiquer le commerce avec l'Espagne. C'est ici que Cortés accosta avec ses caravelles et qu'il reçu les émissaires de Moctezuna.

Veracruz. Le Zocalo (place centrale). C'est Cortès qui baptisa la ville en y débarquant un vendredi saint de 1519: Villa Rica de la Vera Cruz.

Veracruz. Le Zocalo (place centrale). La musique est partout dans les rues et dans les restaurants: entre joueurs de marimbas, trios de guitares ou chanteurs accompagnés d'une contrebasse. La danse fait aussi partie de la vie de Veracruz: ici il s'agit d'un rassemblement de passionnés de danzon, danse d'origine cubaine.

Veracruz. Les plages y sont très sales et l'eau y est extrêmement polluée dépassant de 2 400 % les normes établies par l'OMS pour la pollution d'origine fécale, la principale source de contamination étant le déversement des eaux usées d'origine industrielles non traitées ou traitées de manière inadéquate dans la mer.

Veracruz. Musée naval. L’Ecole Navale de Veracruz a été fondée sur les terrains de l’Ancien Collège Esperanza. Inauguré le 1er Mars 1897, ce bâtiment a été témoin du bombardement lors de l’intervention américaine survenue le 21 avril 1914. Etant l’un des principaux flancs de défense du Port de Veracruz, il a été héroïquement protégé par des étudiants de l’Académie navale.

Veracruz. Musée naval. C’est dans les années 1950, suite au déménagement de l’Académie Navale que le Musée Historique Naval de Veracruz ouvrit ses portes.

Veracruz. Musée naval. La ville de Veracruz au XVIIIe siècle.

Veracruz. Musée naval. On va faire un petit tour en bateau?

ETAT DE OAXACA - DU 13 AVRIL AU 23 AVRIL 2015

Oaxaca. Les rues colorées de la ville. Un régal pour les yeux!

Oaxaca. L’Église et l'ancien couvent de Santo Domingo de Guzmán. L’église Santo Domingo est un des chefs d’œuvre du style mexicain baroque colonial.

Oaxaca. L’Église et l'ancien couvent de Santo Domingo de Guzmán. Construite au 16e siècle, l’intérieur est entièrement recouvert de petits angelots dorés, de représentations colorées,... Il ne reste pas un cm² non recouvert d’or ou de doré sur tous les murs de l’église ! Un ensemble très impressionnant !

Oaxaca. Hotel Camino Real. Il a été construit dans l'ancien couvent de Santa Catalina de Siena datant du XVIe siècle. A l'intérieur on peut y admirer une série de petits patios verdoyant. Sur cette photo, un lavoir de l'époque magnifiquement conservé.

Oaxaca. Les enlèvements d'Iguala désignent la disparition de 43 étudiants issus de l'Ecole Normale Rurale de Ayotzinapa, le 26 septembre 2014, dans la ville d'Iguala, dans l'État de Guerrero, au Mexique. Dans de nombreuses villes mexicaines, nous retrouvons ce chiffre qui démontre le mécontentement de la population face à un gouvernement qui ferme les yeux. A droite les portraits des étudiants.

Oaxaca. Femme typique de l'état de Oaxaca, sculptée directement à la racine d'un arbre.

Oaxaca.

Oaxaca. Une boucherie dans le marché de Abastos.

Oaxaca. Cerro del Fortín. Tout en haut de coline du même nom, une vue imprenable sur la vallé de Oaxaca. A gauche, une statue de Benito Juarez désignant du doigt Monte Albán.

Monte Albán. Posé au sommet de la colline du Jaguar, après de 2000 mètres d'altitude, le site domine toute la vallée de Oaxaca.

Monte Albán. Apparu en tant que centre culturel vers 500 av J.-C., Monte Albán a connu son apogée entre 350 et 550 apr J.-C.: la cité était alors la plus importante du monde zapotèque.

Monte Albán. Grand centre politique, économique, spirituel et culturel, il était aussi un centre d'études astronomiques et scientifiques. Jeanne la tête dans les nuages!

Monte Albán. Au pied de cette structure se dresse une stèle qui servait à indiquer les heures.

Monte Albán. Derrière nous se dresse le centre de l'esplanade avec ses trois édifices qui formaient le principale lieu publique de la cité. Le dernier bâtiment à droite servait d'observatoire astronomique.

Monte Albán.

Monte Albán. Pour bénéficier d'une vue unique du site, il faut gravir cet escalier large de 40 mètres avec des marches faites pour les géants!

Zaachila. Dégustation du Mezcal local au marché de Zaachila en compagnie de notre hôte, Alejandro.

Templo Santiago Cuilápam. L'Ex-Couvent de Cuilapam de Guerrero, aussi connu sous le nom de Convento de Santiago Apóstol (Couvent de Saint Jacques Apôtre), est une majestueuse oeuvre architecturale dont la construction, qui débuta en 1559, reste inachevée.

Templo Santiago Cuilápam. Cet édifice fut planifié dans le but d'attirer le plus grand nombre d'indiens pour les convertir au catholicisme.

Templo Santiago Cuilápam. On va boire un verre?

Templo Santiago Cuilápam. Ses impressionnantes dimensions suggèrent que si ce projet avait été mené à bien on pourrait alors parler du meilleur et plus beau monument de l'Amérique Espagnole Coloniale.

Templo Santiago Cuilápam.

Templo Santiago Cuilápam. Cartilage d'insectes très sonore (bruit de mobylette!) que l'on peut trouver sur les arbres.

Sur la route de Hierve el Agua, à Xaaga. Le mezcal est une boisson alcoolisée élaborée à partir d'agave ayant mûri pendant six à douze ans avant qu'ait lieu la récolte. Les feuilles acérées sont élaguées par le cultivateur d'agave, jimador, à l'aide d'un outil tranchant, la coa, pour ne garder que le cœur ou piña (mot espagnol pour ananas). Sur cette photo, il s'agit du mécanisme de fabrication artisanale.

Sur la route de Hierve el Agua, à Xaaga.

Hierve el Agua. Cascade pétrifiée composée de carbonate de calcium.

Hierve el Agua. Des sources d'eau carbonée alimentent ces piscines naturelles: vue magnifique sur toute la vallée!

Hierve el Agua. Les pieds dans l'eau à 24 degrés, c'est le panard!

Hierve el Agua. On s'arrête quelques instants pour profiter de la vue!

Hierve el Agua. Petit jacuzzo naturel.

Hierve el Agua. Canal préhispanique.

San Juan Bautista Valle Nacional. Une femme et son enfant lavant son linge dans la rivière.

Mazunte.

Mazunte.

Mazunte. En route pour un superbe couché de soleil.

Mazunte. Couché de soleil sur Punta Cometa, magique!

Mazunte. Campement sauvage breton sur la plage de Punta Cometa.

San Agustinillo.

San Agustinillo.

San Agustinillo. Anguille trouvée sur le bord de l'eau.

Puerto Angel. Port de pêche de la côte pacifique.

ETAT DU CHIAPAS - DU 24 AVRIL AU 2 MAI 2015

Arrivée à la frontière de l'état du Chiapas.

Tuxtla Gutiérrez. Zoo Miguel Alvarez del Toro. Peut-être l'un des plus beaux du Mexique, centré sur la faune du Chiapas.

Tuxtla Gutiérrez. Zoo Miguel Alvarez del Toro. Le jaguar est le félin le plus grand d'Amérique. Il pèse entre 45 et 90 kg et mesure entre 1.70 et 2.30 m. Sa longévité est de 20 ans.

Tuxtla Gutiérrez. Zoo Miguel Alvarez del Toro. Animal typique du Chiapas... dont on a oublié le nom :)

Tuxtla Gutiérrez. Zoo Miguel Alvarez del Toro. Un raton laveur prêt à attaquer!

San Cristóbal de Las Casas. La cathédrale de San Cristóbal de Las Casas, également appelée Notre-Dame-de-l’Annonciation, se situe sur le zòcalo. Elle a été édifiée au XVIème siècle avec une façade très typique de style baroque indigène.

San Cristóbal de Las Casas. Le zòcalo avec ses vendeuses de bracelets artisanaux, en habit traditionnel.

San Cristóbal de Las Casas. Templo de Santo Domingo. le couvent attenant a été abandonnée par les dominicains en 1859, et après la révolution il a service de prison puis de bibliothèque (le changement d'activité est plutôt radical).

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San Cristóbal de Las Casas. Andador eclesiastico. Rue piétonne très colorée et animée, qui traverse la ville du nord au sud. En arrière plan, vous pouvez voir le templo de Guadalupe.

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San Cristóbal de Las Casas. Templo de Guadalupe. Il est un lieu de pèlerinage pour les locaux.

San Cristóbal de Las Casas. El gran mercado. Il est peut être l'un des plus beaux du Mexique. Les indiens y viennent pour vendre leurs fruits et fleurs. A savoir, les indiens sont très mal considérés par les mexicains...si vous demandez à ces derniers ce qu'ils pensent des indiens, vous serez surpris de la réponse.

San Cristóbal de Las Casas. Sur les hauteurs de la ville.

San Cristóbal de Las Casas. Si vous quittez un peu le centre ville, vous trouverez un petit havre de paix à quelques pas d'une fourmilière.

San Juan Chamula. Petit village situé à 10 km au nord-ouest de San Cristóbal de las Casas. Il est le foyer d’une communauté Tzotzil farouchement indépendante. Les Mayas Tzotziles sont un des principaux groupes indigènes du Chiapas, ils forment environ un tiers de la population autochtone de l’État.

San Juan Chamula. L'église: les Tzotziles y pratiquent leur propre religion tout en se servant des instruments de culte catholique importé par les jésuites espagnols. NB: Ici le coca-cola à remplacé l'alcool traditionnellement utilisé lors de rites car il présente l'avantage de faire roter, ce qui permet d'extirper le mal plus rapidement.

San Juan Chamula. Interdit de prendre des photos à l'intérieur, celle-ci provient d'internet. Des aiguilles de pin jonchent le sol et odorent toute l'église. Le Tzotziles y vénèrent leurs propres dieux sous les traits des statues de saints. Le Christ a été remplacé par San Juan portant dans ses bras un mouton, l'animal sacré des Tzotziles. Incantations, prières et bougies sont au rendez-vous, donnant à ce lieu une atmosphère très particulière dès l'entrée.

Palenque. El Panchán. A quelques kilomètres des ruines de Palenque, la zone hôtelière où les singes se prennent pour des majordomes.

Les ruines de Palenque. Une des plus grandes cités mayas du Mexique, inscrite au Patrimoine mondial de l'Unesco. La cité s'est construite entre le IIIe et Ve siècle. Palenque signifie "entouré d'arbres", le site se trouve en bordure de la jungle et au pied des montagnes du Chiapas. L'endroit est magique! Seule une partie de l'ancienne ville maya est visible (10%), le reste étant enfoui sous la végétation.

Les ruines de Palenque. Le Temple des Inscriptions domine la Grand-Place au sommet d’une pyramide à neuf étages. A l’intérieur se trouvent trois tablettes couvertes d’inscriptions et formant un seul texte, un des plus longs que l’on connaisse du monde maya. Leur déchiffrement fournit des éclairages considérables sur la succession dynastique de Palenque.

Les ruines de Palenque. Représentation de Pakal, le plus célèbre souverain cette cité maya. Il est monté sur le trône à l'âge de 12 ans le 29 juillet 615, et a vécu jusqu'à l'âge de 80 ans. Il doit sa renommée du fait qu'il a restauré la puissance de Palenque après une série de revers catastrophiques au cours de conflits avec Calakmul.

Les ruines de Palenque. Le Groupe de la Croix comporte le Temple de la Croix, le Temple du soleil et le Temple de la Croix feuillue.

Les ruines de Palenque. Sur la droite, l'une des plus haute structure du site arquéologique, le temple de la Croix.

Palenque. Stefenn en train de jouer à Tarzan!

Palenque. Une cascade aux alentours des ruines.

PENINSULE DU YUCATAN - DU 3 MAI AU 4 JUIN 2015

Campeche. A l'intérieur de la fortification de la ville, les rues sont toutes plus colorées les unes que les autres et très bien entretenues.

Campeche. Comme dans toutes les villes mexicaines que nous avons visité, une cathédrale domine le Zócalo, ici celle de Santa Isabel.

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Campeche. Seule ville fortifiée du pays, aujourd'hui il ne reste que 400 mètres sur les 2720 mètres de la muraille qui l'entourait. En effet, il y a 50 ans un gouverneur fit démolir une partie de la muraille pour y trouver un trésor hypothétique.

Campeche. Canon en bronze datant du XVIIème siècle. Il servit entre autre à protéger les habitants des pirates et des corsaires qui voulaient piller la ville.

Campeche. Cette rue traverse la ville entre la porte de la terre (2 photos précédentes) et la porte de la mer.

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Campeche.

Campeche. Couché de soleil sur la ville, ici interdit de se baigner. Sans que personne n'ose s'opposer à la puissante Pemex, les raffineries de Ciudad del Carmen, situées au sud de Campeche, continueront de polluer la mer.

Campeche. Jeanne devant l'église San Francisco.

Campeche. Dernier repas avec nos amis de couchsurfing. A droite, Orlando, notre hôte, au fond Julio et à gauche Harold, deux cubain très divertissant. Merci pour ces jours passés en votre compagnie. Petit clin d’œil pour la pizza spéciale!

Merida. Théâtre Péon Contreras. Construit en 1900 dans un style français, il accueille des festivités internationales.

Merida. La cathédrale qui domine le zocalo du haut de ses 400 ans. Elle aurait été construite avec les pierres d'anciens temples mayas se trouvant à cet emplacement.

Merida. Musée Macay d'art contemporain se situant dans un ancien bâtiment datant du XVIe siècle.

Merida. Devant le grand marché municipal Lucas de Gálvez, les chariots à la queue leu-leu.

Merida. Match de baseball opposant les lions de Merida au dauphins de Ciudad del Carmen. Les locaux sortirent vainqueur. Très belle ambiance dans le stade.

Mayapán. Cette cité maya est considérée comme la dernière grande capitale entre 1200 et 1450 apr. J.-C. Sa population a été estimée à 12000 habitants.

Mayapán. L'influence de Chichén Itzá y est bien sûr évidente dans son édifice principal en revanche beaucoup plus petit du haut de ses 18 mètres.

Mayapán. C'est agréable de pouvoir prendre des photos sans trop de touristes dessus (à part nous).

Mayapán. Stefenn observant l'observatoire qui permettait aux mayas d'étudier le mouvement des étoiles dont ils avaient une connaissance très précise.

Mayapán. On ne dirait pas comme ça mais il fait une chaleur étourdissante, presque 42°.

Acanceh. Petit village au sud de Merida, où la plaza de torros domine le centre-v

Celestún. Petit village de pêcheur, connu pour sa réserve naturelle de flamants roses. Cet estuaire forme une grande lagune de 20km de long, véritable paradis ornithologique dont les vedettes sont les flamants roses présents essentiellement de décembre à mars. Actuellement on en compte à peine une centaine.

Celestún. Actuellement il y a plus de pousse-pousse dans la ville que de flamants roses.

Cancún. La plage de la zone hôtelière. Si l'on fait abstraction des nombreux hôtels qui polluent le paysage, la plage reste magnifique, entre sable blanc et mer turquoise.

Isla Holbox. Cette île s'étend entre le golfe du Mexique et la mer des Caraïbes, à l'intérieur de la réserve écologique Yum Balam.

Isla Holbox. Cette île abrite un seul village du même nom comptant un peu plus de 1700 habitant, le reste de l'île étant désert.

Isla Holbox. Cucaracha del mar: ça ne donne pas envie de se baigner...

Isla Holbox. Sur cette île aux eaux turquoises on peut y observer des requins baleines, de raies manta, des flamants et pélicans...un vrai régal pour les yeux!

Isla Holbox. Levé de soleil sur les caraïbes.

Valladolid. Petite ville coloniale très touristique, dominée par les deux tours de la cathédrale.

Valladolid. La ville a été construite sur la cité Maya de Zaci, elle fut l'une des premières colonies espagnoles de la région.

Valladolid. Fondée en 1543, elle a été le théâtre de violents affrontements entre les Mayas et les conquistadors. Les dernières révoltes ont eu lieu au début du XIXe siècle.

Valladolid.

Valladolid. Convento y templo San Bernandino de Siena. Construit en 1552, il est l'un des premiers couvents du pays. Édifié comme une forteresse, il fut incendié par les indigènes en 1847 et 1910.

Uayma. Iglesia Santo Domingo de Guzmán. Une église pas comme les autres...

Chichén Itzá. Ce site est le plus touristique du Yucatán et presque de tout le Mexique. Des ruines extraordinaires qui s'étendent sur 300 ha, qui sont pourtant les moins Mayas de la région car l'apport Toltèque y fut considérable. La pyramide Kukulkan domine l'ancienne ville de Chichén Itza.

Chichén Itzá. La ville aurait été fondée par les Itzaes, tribu Maya venue du sud, vers 450. A son apogée entre l'an 750 et 1200, la cité détenait la suprématie sur l'ensemble de la zone Maya.

Chichén Itzá. Jeu de la pelote est un sport rituel qui a été pratiqué pendant plus de 3000 ans par les peuples précolombiens de la Mésoamérique. Au jeu de balle, la balle en caoutchouc représente le soleil et sa trajectoire, dont la course ne doit pas être arrêtée. Le sol représente l’équivalent de l’enfer Maya, «l’inframonde », et la lutte perpétuelle que les hommes doivent mener pour se détacher des ténèbres pour rejoindre le soleil.

Chichén Itzá. Elle fut repeuplée vers l'an 1000 avec l'arrivée des tribus toltèques du nord. La ville connait alors un nouvel âge d'or avec l'intégration de la culture toltèque qui se traduit par une nouvelle forme d'architecture et le culte du dieu-serpent.

Chichén Itzá. La cité dut définitivement abandonnée vers 1200 , sans doute à cause d'un conflit entre Uxmal, Mayapan et Chichén Itza.

Chichén Itzá. En 1533, durant la conquête espagnole, la cité ne comptait plus que quelques habitants, même si elle restait un centre de pèlerinage Maya très connue.

Yokdzonot. Cénote signifie en Maya "puit sacré", il s'agit de gouffre totalement ou partiellement rempli d'eau douce (ou d'eau de mer s'il communique avec l'océan). Mais c'est surtout l'occasion pour tous de se rafraîchir un peu!

Izamal. Petit village colonial dont toutes les maisons du centre sont peintes en jaune et blanc, à l'image du magnifique couvent qui domine le zolaco (voir photo suivante).

Izamal. Convento de San Antonio de Padua. Construit entre 1553 et 1562 par le franciscains à l'emplacement d'un temple Maya. Le gigantesque atrium est bordé par 75 arcades, à part le Vatican il n'y a pas plus vaste au monde.

Hacienda Ochil. Les haciendas étaient d’immenses exploitations agricoles vouées aux différentes productions régionales ou à l’élevage. San Pedro de Ochil a été construite au 17ème siècle et fut dans un premier temps une exploitation dédiée à l’élevage puis le maïs avant de s’orienter dans la transformation de l’henequen.

Hacienda Ochil. On s'égare un peu en route...

Uxmal. Cette cité, qui comptait 20000 habitants, est incroyable de par ses monuments et la beauté de son architecture typique du style puuc. C'est l'ensemble le plus important du Yucatan avec Chichén Itza, mais surtout le plus pittoresque. Plus qu'un centre cérémoniel, elle était avant tout la capitale politique, militaire et religieuse de la région Puuc.

Uxmal. Uxmal signifierait "trois fois", indiquant ainsi le nombre de reconstructions qu'aurait subies la cité. Le site était occupé avant notre ère, mais c'est seulement à partir de l'an 200 qu'il a commencé à se constituer un centre urbain avant de devenir une ville active.

Uxmal. Sur cette photo, le sommet de la pyramide du Devin. Selon la légende, elle aurait été érigée en une nuit par un nain aux pouvoirs magiques, alors qu'il venait d’accéder au trône. Pour ma part, je pense que les champignons du coin n'étaient pas inoffensifs.

Uxmal. Entre 1000 et 1200, de nombreux émigrants originaires du Mexique central, porteurs de la culture toltèque, déferlèrent sur le Yucatan. Ces derniers y introduisirent de nouvelle conceptions politiques et religieuses avec notamment le culte du dieu-serpent.

Uxmal. Le jeu de la pelote.

Uxmal. Aujourd'hui encore on ne sait pas pourquoi la cité commenca à décliner en 1200, les habitants émigrant vers d'autres centres. Uxmal s'est ainsi réduit à un centre cérémoniel peu à peu recouvert par la végétation.

Santa Elena. Petite ville située à quelques kilomètres du site d'Uxmal. Idéale pour manger de la cuisine mexicaine à bon prix! Nous y avons passer une nuit durant les élections législatives du Mexique, l'ambiance dans les rues valait vraiment le coup d’œil, entre défilés de voitures et chants.

La lagune de Bacalar. Située au sud de l'état du Quintana Roo, cette lagune est connue comme la lagune aux sept couleurs (de bleu très clair quasi blanc à bleu foncé).

La lagune de Bacalar. Des tons qui passent du bleu turquoise au vert émeraude ou du bleu ciel à un bleu électrique selon les profondeurs ou le moment de la journée. Cette lagune est probablement le plus beau plan d'eau du Mexique.

La lagune de Bacalar. Une balade en catamaran sur les eaux tranquilles à la découverte de la faune et de la flore typiques de la région.

La lagune de Bacalar. Se laisser porter par les “rapides” de Bacalar et y découvrir des poissons aux multiples couleurs. Sympathique expérience!

La lagune de Bacalar. Petite pause le temps de quelques plongeons.

La lagune de Bacalar.

Tulum. Village qui s'étire sur le long de la Federal, bordé par une immense grève de sable blanc. Aujourd'hui les plages sont envahies par une algue, impossible de ce baigner!

Muyil. Ce site archéologique est situé à environ 20 km au sud de Tulum et fait partie de la réserve de la biosphère de Sian ka'an. Le site enfoui dans la fôret fut occupé dès 300 av. J.-C. et jusqu'au début du XVIe siècle. Sur cette photo, El Castillo, l'un des édifices ls plus hauts de la côte est. Au pied du Castillo débute l'ancien sacbé, chemin qui assurait une communication avec les voies maritimes.

Cenote Dos Ojos. Situé à quelques kilomètres de Tulum, ce cenote doit son nom aux deux cavernes marines reliées entre elles par un couloir aquatique. On peut y contempler le fond de la grotte, les stalactites et stalagmites millénaires… Un cenote à couper le souffle !

Cenote Dos Ojos.

Akumal. Nager avec les tortues, les poissons de toutes sortes et toutes les couleurs, ça restera dans nos mémoires!

Paamul. Un havre de paix.

Notre bilan du Mexique

 

Nous sommes le 20 janvier 2015, il est 17h45 sur les quais de la gare de Saint-Brieuc, notre ville. C’est l’heure de dire au revoir à la famille et aux amis. Grosses embrassades, quelques larmes et nous voilà partis avec nos gros sacs à dos pour Paris.

Après 2 escales, Francfort puis Cancun, nous arrivons à 21h45, heure locale, à Mexico city.

Nous sommes accueillis par Romain et Gabriela, des couchsurfers, pour 1 semaine. Le dépaysement est total ; passer d’une ville de quelques milliers d’habitants à une capitale de près de 20 millions d’habitants, c’est le choc ! La capitale grouille de monde comme une grande fourmilière. Il fait chaud, très chaud, l’air est pollué, mais nous nous laissons très vite conquérir par le folklore de la ville.

Durant une semaine nous visitons la ville et ses alentours, les pyramides de Teotihuacan, nous goutons avec plaisir aux délicieux plats mexicains, toujours très pimentés, bref, nous sommes enchantés par cette ville qui regorge de culture…

 

135 jours ont passé depuis notre arrivée au Mexique, on peut dire que faire du stop est chose faisable avec des expériences plus ou moins bonnes.

Une des meilleures fut avec un couple de Guadalajara, Monica et Alvaro, rencontrés à La Manzanilla, Jalisco. Après plus de 210 km ensemble, ils nous ont proposé de passer la semaine suivante chez eux: Que buena suerte !!

L’une des pires fut de passer presque 10h dans un camion de marchandises entre Poza Rica et Jalapa, Veracruz, soit 210km de stop à une allure de 40km/h dans les montagnes : Ca nous a laissé le temps d’admirer le paysage !

Aujourd’hui, nous avons plus de 6000km en stop au compteur. La peur et l’hésitation ne se font plus ressentir.

En ce qui concerne le couchsurfing, ce ne fut que de bonnes expériences humaines. Plus que des hôtes, ce sont aujourd’hui des amis que nous avons rencontré. Un GRAND merci à tous pour leur accueil, leur amabilité, leur amitié et leur générosité.

 

Passons maintenant au sujet tabou : la bouffe !

Que dire…si ce n’est que tout est à base de tortillas (galette de mais ou de farine) et de piments. Sinon, il y a d’autres alternatives, comme le pozole, notre repas préféré. Il s’agit d’une soupe réalisée à partir de grains de maïs, de sel, de la viande de porc ou de poulet et d'ingrédients servant à sa coloration (souvent des piments…). Pour les amateurs de fruits et de légumes, vous êtes au bon endroit, rien à voir avec ce que l’on peut trouver dans les commerces français.

En résumé, la cuisine n’y est pas très variée, mais très savoureuse (et grasse).

 

Pour ce qui est du paysage, vous l’avez vu sur nos photos, il est extrêmement riche est varié : les montagnes, la jungle, le désert, la mer, les cénotes, … et les pyramides qui font partie intégrante du décor.

Dommage que trop souvent ces beaux paysages soient pollués...  

 

En ce qui concerne la culture mexicaine, elle est généreuse et riche.

Ici, la famille est ce qu’il y a de plus important. Lors des fêtes de famille, il n’est pas rare de voir plus de mille personnes! Les mexicains savent recevoir et toutes les raisons sont bonnes pour faire la fête : les anniversaires, la fête des mères, les naissances ou la fête des morts…avec, s’il-vous-plait, la présence des mariachis ! 

 

Quelques références :

1 euro = 17,55 pesos

1 repas = 40 pesos

1 bouteille d’eau = 8 pesos

1 nuit en auberge = 100 pesos

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