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LA HAVANE - DU 4 AU 7 JUIN 2015

 

Nous sommes arrivés à La Havane! Capitale de Cuba avec ses 2 400 000 habitants, elle est aussi un port, un centre économique et surtout la plus vielle ville du pays.

Fondée en 1519 par les Espagnols, la Havane est devenue au XVIIe siècle un grand centre de construction navale pour les Caraïbes.

Le Capitole National (Capitolio Nacional de La Habana). C'est l’édifice le plus imposant la Vieille Ville, il fut construit en 1929. A partir de 1960, un an après la prise de pouvoir de Fidel Castro et la Révolution Cubaine, le Capitole, dénommé ainsi en référence au Capitole des États-Unis à Washington DC devient le siège du Ministère des Sciences, des Technologies et l’Environnement. Il aujourd'hui en rénovation donc impossible de le visiter.

Près du Capitole, quelques voitures américaines comme la Chevrolet Impala ou la Ford T. Cuba est un musée vivant : vélos, motos ou voitures, vous en croiserez de toutes les couleurs dans toutes les rues et dans tout le pays.

Depuis notre casa particular, vue sur les toits de la Havane. Casa particular, c’est le nom qu’on donne aux chambres ou aux appartements à louer dans l’île auprès des particuliers. Si vous avez horreur des "tout inclus", des bracelets fluo et que vous recherchiez l'expérience humaine, la casa particular est faite pour vous!

Une autre vue de notre chambre, cette fois vers le nord de La Havane avec ses infrastructures vétustes au premier plan et sa digue au second plan.

Le Musée de la Révolution Cubaine de 1959 menée par Fidel Castro et Ernesto Che Guevara. Il se situe dans l'ancien palais présidentiel.

Statue de Máximo Gómez. Né en 1836 à Baní, petite ville de la République dominicaine, il devient le général en chef de l’armée de libération cubaine et surtout le symbole de la solidarité entre les peuples antillais.

Les rues de La Havane, les vielles voitures et l'odeur des vieux pots d'échappement, les vieux bâtiments tout ça rythmé par de la musique cubaine.

Plaza de la Revolución. L’endroit a été le théâtre de nombreux événements marquants dans l’histoire cubaine comme le lancement de la campagne d’alphabétisation, cérémonie d’adieux au Che et surtout, les longs discours de Fidel Castro.

Grand Théâtre de La Havane. Inauguré le 15 avril 1838, le bâtiment a été rénové entre 1908 à 1914 dans un style néobaroque à l'image de l'architecture de la ville. Le théâtre est orné de statues de marbre et de sculptures qui symbolisent la bienveillance, l'éducation, la musique et le théâtre. Comme beaucoup d’autres édifices de la ville, il est actuellement en rénovation pour une durée indéterminée.

Depuis notre chambre au 9ème étage d'une tour, un adolescent s’entraîne sur un ring de boxe en bois.

Un bâtiment abandonné, place à la végétation.

Danseurs de rue sur échasses. Il n'est pas rare de rencontrer des danseurs dans les rues de la Havane (et même dans tout Cuba). En effet, la musique et la danse sont les deux piliers de la culture cubaine ! Les rythmes envoûtants et les déhanchements sensuels: impossible de rester de marbre devant un tel spectacle.

Dans les rues de La Havane.

La Cathédrale de la Vierge Marie de l'Immaculée Conception. De style baroque du XVIIIe siècle elle est consacrée à la Vierge Marie. La cathédrale est située dans un des quartiers les plus anciens de la vieille ville.

Vu sur la capitale depuis la digue, au fond à gauche vous pouvez apercevoir le château de Morro et son phare de 45 mètres de haut.

La patinoire locale.

Les cubains se donne à coeur joie pour la pêche, tous alignés pour attraper quelque chose dans l'eau polluée.

En France c'est un fléau, ici c'est l'art déco!

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Castillo de los Tres Santos Reyes Magos del Morro. Édifice construit entre 1589 et 1630 pour protéger l’entrée du port. Il est partie intégrante du plus grand complexe militaire espagnol érigé en Amérique, « Morro – Cabaña ». Le château est l'un des plus célèbres de La Havane grâce à son phare haut de 45 m construit quelques années plus tard. Devenu musée maritime, le château propose également une rétrospective de l’histoire de la forteresse ainsi qu’un musée de la piraterie.

La forteresse de la Cabana. Construite en 1763 par l'Espagne à l'entrée du port de La Havane, alors que Cuba était l'une de ses colonies. C'était le plus grand complexe militaire du Nouveau monde. La forteresse servit ensuite de prison pendant le régime de Fulgencio Batista et après la prise du pouvoir de la révolution cubaine en 1959.

Castillo de San Salvador de la Punta. Cette petite forteresse a joué un rôle crucial dans la défense de la ville au début de la période coloniale.

Castillo de San Salvador de la Punta.

Eglise Orthodoxe Russe de la ville.

Ayant la ville à ses pieds, le Christ de La Havane l'observe depuis plus de 50 ans. La statue de 20 mètres de haut se situe sur la colline de l’ancien village de pêcheurs à Casablanca, sur la partie gauche du chenal d’entrée de la plus grande baie de Cuba.

Depuis le château de Morro.

Depuis la forteresse de la Cabane, vue sur le château de Morro.

Exposition à l'intérieur de la forteresse de la Cabana.

Exposition à l'intérieur de la forteresse de la Cabana.

Exposition à l'intérieur de la forteresse de la Cabana.

On profite de l'exposition pour s'amuser un peu.

Se faire son art soi-même.

Forteresse de la Cabana. Les anciennes prisons.

Les enfants qui s'amusent dans les eaux contaminées par les entreprises de pétrochimie.

Bar El Floridita. Célèbre bar à cocktail sur fond de musique cubaine. A siroter un daiquiri, spécialité de la maison.

Les nouvelles photos, vidéos et le bilan, c'est par ici!

Danse de rue sur échasses

 

Les vieilles voitures américaines

PINAR DEL RIO, VINALES, VARADERO, CIENFUEGOS ET LA TRINIDAD - DU 8 AU 14 JUIN 2015

 

Pinar del Río. Capitale de la province, elle est une escale pour admirer la beauté de la région du même nom.

Pinar del Río. Une rue typiquement cubaine avec ses maisons en bois et ses portiques à colonnes du XIXe siècle.

Pinar del Río. Casa de Garay, fábrica de guayabita del Pinar. Depuis 1892 on y produit « la Occidental : Guayabita del Pinar », sucrée à base de goyave, d'épices imbibées de rhum et au goût caramélisé.

Pinar del Río. Casa de Garay, fábrica de guayabita del Pinar. Cette boisson (d'environ 40 degrés) était la préférée des planteurs de tabac de la zone pour lutter contre le froid des premières heures de la matinée.

Pinar del Río. Théâtre José Jacinto Milánes.

Pinar del Río. Théâtre José Jacinto Milánes. Avec son intérieur en bois, il peut accueillir jusqu'à 500 personnes.

Pinar del Río. Fabrique de tabac Michel Robaina. La ville et la zone de Vuelta Abajo produisent le meilleur tabac du pays destiné aux plus prestigieux cigares du monde.

Pinar del Río. Fabrique de tabac Michel Robaina. On sème en septembre, on repique les plants naissants à la mi-novembre. La croissance des plantes doit être très surveillée. A partir de janvier, c'est la récolte qui se fait entièrement à la main et, pratiquement, feuille par feuille.

Pinar del Río. Fabrique de tabac Michel Robaina. Les feuilles, cousues par paires, sont suspendues sur des perches (cinquante paires par perche). Les plus fraîchement cueillies sont accrochées au ras du sol.

A bord d'une vieille voiture américaine en cuir rouge, nous partons à la découverte de la vallée de Viñales.

La Vallée de Viñales. Un paysage assez extraordinaire avec les fameux mogotes et les reliefs karstiques hérités de la période jurassique. Une vue à couper le souffle!

La Vallée de Viñales.

La Vallée de Viñales.

La Vallée de Viñales.

La Vallée de Viñales. Petit village de 15 000 habitants, niché dans une superbe vallée classée au patrimoine mondial de l'UNESCO.

La Vallée de Viñales. Stefenn devant une fabrique de tabac.

La Vallée de Viñales. Charrue tractée par des boeufs.

La Vallée de Viñales.

La Vallée de Viñales. Mûr de la préhistoire. Cette peinture gigantesque (80m de haut sur 120m de large) a été réalisée par le cubain Leovigildo González par ordre de Fidel Castro. Elle représente l'évolution biologique de la zone.

La Vallée de Viñales. Grotte de l'Indien. Découverte en 1920 par un paysan de la région, elle abritait des Indiens avant l'arrivée des Espagnols.

La Vallée de Viñales. Grotte de l'Indien. Avant d'embarquer pour le rio San Vicente.

La Vallée de Viñales.

La Vallée de Viñales.

La Vallée de Viñales.

Pinar del Río. Rencontrée par surprise à l'aéroport de La Havane, Lisandra, une amie cubaine de la ville de Campeche au Mexique, nous a accueilli pendant deux jours dans sa ville. Sa famille nous a offert un livre (que Stefenn tient dans sa main) relatant l'histoire de Fidel Castro et de son pays. Muchas gracias a la familia Ordaz Valdés.

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Varadero. Une des villes les plus touristiques du pays, c'est le petit Cancun de Cuba. Eaux transparentes, sable blanc et mojitos.

Varadero. C'est le pied!

Varadero. Stefenn a une nouvelle copine.

Sur la route de Cienfuegos.

Cienfuegos. Capitale de la province, surnommée la perle du Sud, connue pour sa baie, la plus profonde du pays. Elle a accueilli pendant de nombreuses années la régate Saint-Nazaire-Cienfuegos.

Cienfuegos. Parc José Martí. C'est le cœur du centre historique de la ville (appartenant au patrimoine mondiale de l'UNESCO). Au fond à gauche, vous pouvez apercevoir le palais Ferrer, avec ses escaliers en colimaçon, il abrite aujourd'hui la maison de la culture. Au centre l'arc de triomphe, unique en son genre à Cuba.

Cienfuegos. Statue de marbre blanc de José Martí, commémorant la naissance de la République cubaine. Cette homme politique, philosophe, journaliste ou encore poète est le fondateur du Parti révolutionnaire cubain en 1892. Il est considéré à Cuba comme un héros national. Célèbre et honoré dans son pays, il est également connu dans le milieu littéraire en Amérique latine au même titre que Bolivar, Sucre, ou encore Miranda.

Cienfuegos. Le palais du Gouvernement qui accueille l'hôtel de ville et le siège actuel de l'Assemblée provinciale du pouvoir populaire.

Cienfuegos. "Liberté pour les cinq cubains" Aussi connu comme Miami Cinq (Gerardo Hernández, Antonio Guerrero, Ramón Labañino, Fernando González et René González), cinq officiers des renseignements cubains qui ont été arrêtés en septembre 1998 et reconnus coupables plus tard à Miami de conspiration pour espionnage, meurtre et d'autres activités illégales aux États-Unis. Aujourd'hui trois des cinq cubains ont été relâchés en échange de l'américain Alan Gross.

Cienfuegos. Théâtre Tomas Terry. Il fut construit par la famille d'un commerçant de sucre vénézuélien devenu maire de la ville. Cet édifice, inauguré en 1890, peut accueillir jusqu'à 950 personnes.

Cienfuegos. Parc José Martí. Jeanne dans un bicitaxi, le taxi local le plus empreinté à Cuba.

Cienfuegos. Le palais De Valle. Il a été construit en 1917 par le milliardaire marchand de sucre espagnol, Oclico del Valle Blanco. C'est un ancien palais du XXème siècle de style byzantin. Ce palais est actuellement un restaurant.

Cienfuegos. Foot de rue. Même s'ils ne sont pas très bons au niveau international, les cubains jouent très souvent au foot.

Cienfuegos. Cimetière Tomas Acea. Classé monument national,il accueille une réplique du Panthéon d'Athènes (64 colonnes de 7m de haut). C'est également ici que se trouve le mémorial de la Baie des Cochons.

Cienfuegos. Dans les allées du cimetière, une tempête se prépare.

Sur la route de La Trinidad, les enfants nous disent bonjour depuis leur car.

La Trinidad. Deuxième plus vieille ville du pays, après La Havane. Cette cité coloniale se situe entre la mer des caraïbes et les collines de la Sierra de l'Escambray. Elle est classée au patrimoine mondiale de l'UNESCO. Depuis la plaza mayor, à gauche se trouve le musée Romantico, ancien palais d'un riche propriétaire de cannes à sucre.

La Trinidad. Coeur historique et architectural de Trinidad, cette place concentre les plus belles demeures coloniales édifiées entre le XVIII et le XIXème siècles par les grandes familles locales et transformées pour certaines en musées. A droite, l'église de la Santísima Trinidad datant de 1713.

La Trinidad. Tour de l'ancien couvent de San Francisco.

La Trinidad. Ancien couvent San Francisco, dont il ne subsiste que la tour d’origine. Il abrite aujourd'hui le musée national de la lutte contre le banditisme. Ce musée relate les combats des années 1960 entre les Milices nationales révolutionnaires et les ennemis de la révolution castriste.

La Trinidad. Ancien couvent San Francisco. Vue sur les toits de la ville depuis la tour.

La Trinidad. Ancien couvent San Francisco.

La Trinidad. Ancien couvent San Francisco.

La Trinidad. Luis, un cubain rencontré dans les rues de la ville. Après avoir discuté quelques instants avec lui, il nous a sorti son calepin avec ses poèmes sur les villes de France, dont Saint-Brieuc...plutôt rare comme rencontre!

La Trinidad.

La Trinidad.

La Trinidad.

La Trinidad.

La Trinidad. Concert dans les rues de la ville.

La Trinidad.

Pinar del Rio - Plantation de tabac

"La grande patrie qui grandit". Sur les bords des routes des messages comme celui-là ne se font pas rare. Ce pays communiste s'est toujours battu pour son peuple et ça se fait ressentir . Ici, Fidel Castro entouré de Hugo Chavez et Nelson Mandela, tous défenseurs des « valeurs révolutionnaires ».

Fidel Castro : "Une image du peuple".

"Dans chaque quartier, la révolution". Cette phrase revient plusieurs fois dans toutes les villes de Cuba.

"Les peuples font les révolutions, les habitants de Cienfuegos sont fermes, il n'y a pas de doute".

"Sans trêve. Le respect, petit effronté!".

"Aucun ouragan, ni physicien, ni idéologie ne pourra abattre la révolution". Fidel Castro Ruz.

"Avec Fidel, la révolution".

"Pour la révolution et le socialisme, vive les travailleurs!".

"LA FIN DU BLOCUS SUR CUBA".

"En parlant des femmes, unies et victorieuses".

Dans la fabrique d'alcool de guayabita (Pinar del Rio), un portait de Jose Martí et Ernesto Che Guevara sous le drapeau cubain. Deux représentants de la révolution.

Dans la fabrique d'alcool de guayabita (Pinar del Rio), des affiches symbolisant l'amitié avec le Venezuela : depuis 1999 et la prise de pouvoir de Hugo Chavez les relations avec Cuba sont très proches même si ce dernier est mort. Ici le portrait de Nicolas Maduro, l'actuel président. Les 5 cubains : voir photo du bus dans l'album ci-dessus.

"La révolution est invincible".

Ernesto Che Guevara : "Et, mes rêves n'auront pas de frontières...".

"Si vous triomphez, il y aura des milices à Cuba" Fidel Malagones, un des premiers miliciens.

Sous le portrait du "Che" : "jusqu'à la victoire". Une phrase mythique.

Sur la place de la révolution à La Havane se dresse le portrait géant de Fidel Castro sur le bâtiment du ministère de l'intérieur.

CUBA : UN PAYS COMMUNISTE

 

Notre bilan de Cuba

 

Cuba, un pays authentique qui continue d’entretenir la légende parce que ce pays se veut très différent des autres.

 

En arrivant à La Havane, la capitale cubaine, son charme nous saute à la figure : vieilles voitures américaines, vieux immeubles colorés, le magnifique cœur historique, …

Et l’émerveillement continue avec la découverte des autres villes : Vinales et sa vallée aux reliefs karstiques, Pinard del Rio et ses plantations de tabac, Varadero avec son eau transparente et ses plages de sable blanc, Cienfuegos et son histoire ou encore La Trinidad pour son architecture coloniale.

 

Il y a aussi des mauvais côtés, comme les eaux de La Havane, contaminées les entreprises de pétrochimie, le fait de ses faire alpaguer 50 fois dans les rues pour un taxi, une casa particular ou encore des cigares (qui sont pour la plupart du temps des faux). A Cuba, il faut toujours négocier pour tout, attention aux arnaques ! On peut également parler d’internet…un seul fournisseur d’accès dans toute l’île, ETESCA, du coup il faut se lever tôt pour aller consulter ses mails (s’il n’y a pas de coupure internet nationale…).

 

Les Cubains :

Sont des gens accueillants, intéressés par l’histoire et la culture des autres pays. Quand vous êtes français, il n’est pas rare de se faire aborder dans la rue ou chez un commerçant. En effet, les cubains aiment la France et son histoire comme ils aiment leur pays.

Cet état révolutionnaire est attaché au communisme, comme vous pouvez le voir à travers notre dernier album de Cuba, leur histoire encrée en eux, depuis le 26 juillet 1953 et le mouvement révolutionnaire de Fidel Castro.

 

On ne peut pas parler de Cuba sans la musique, la danse et le rhum ! Ici la musique résonne dans toutes les rues, les cubains n’hésitent pas à danser devant chez eux avec quelques verres de rhum à la main.

 

La monnaie :

Deux monnaies sur l’île : le CUC et le peso national.

Taux de change : 1€ = 1,37 CUC ; 1 CUC = 26,5 pesos cubains.

Des fois, il est plus rentable de payer avec les pesos cubains, pour acheter votre pizza dans la rue par exemple.

On cherchera parfois à vous arnaquer en profitant de la double monnaie…

 

Nos meilleures expériences :

Nous avons passé 2 nuits à Pinard del Rio chez Elisandra, couchsurfeuse rencontrée au Mexique. Durant ce court séjour, nous avons beaucoup échangé avec ses parents, Ruben et Letycia, des gens formidables et très cultivés. Avant de partir, ils nous ont offert un livre dédicacé sur la vie et l’histoire de Fidel Castro. Encore merci à eux !

A La Trinidad, nous avons rencontré Luis, taxi brouette et poète, qui  nous a enchanté avec ses poèmes sur la France et notamment sur la Bretagne. Encore merci à lui pour ce moment rare !

 

Pour conclure, prévoyez 1 mois complet pour visiter l’île (11 jours c’est loin d’être suffisant), et prévoyez également un budget conséquent. En effet, la vie d’un touriste est couteuse, en moyenne 20 CUC la nuit en casa particular (sans le petit déjeuner), prévoyez 5 CUC de plus pour un déjeuner ou pour un repas. A savoir : si vous souhaitez bien manger, le bon plan c’est de demander à la casa particular de vous préparer le repas (un délice !).

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