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BELIZE - DU 23 AU 28 JUIN 2015

 

Caye Caulker. Petite île coralienne de 8km sur 1km, située près des côtes du Belize dans les Caraïbes. L'île est une destination populaire pour les backpackers (routards) et ceux qui souhaitent explorer la 2ème plus grande barrière de corail au monde.

Caye Caulker. "Caye Caulker, go slow" Pour se déplacer sur l'île, 2 choix: la voiture de golf ou le vélo. La vie y est très agréable, bien qu'un peu coûteuse. Pour les fêtards c'est l'endroit rêvé pour poser les valises!

Caye Caulker. On se la coule douce face à la barrière de corail!

Caye Caulker. La voiture de police: attention aux courses poursuites!

Caye Caulker. Même les chiens roulent en Golf mobile.

Caye Caulker. Le cimetière local, même les défunts ont vu la mer...

Caye Caulker. Le nouveau copain de Stefenn, bob l'éponge.

Caye Caulker. Les locaux sont très sportifs, sur l'île pas d'obésité que du muscle!

Caye Caulker. Notre auberge, "PAW", qui est également un refuge pour animaux (chats, chiens et un canard). C'est ici que Madi, la propriétaire, et ses volontaires prennent soin des animaux abandonnés...un vrai havre de paix pour les amoureux de la nature!

Caye Caulker. Notre première vraie tempête tropicale: 17h de pluie, de vent et d'éclairs non-stop! Pas besoin de prendre une douche, c'est dehors que ça se passe...

Caye Caulker. Décorticage des langoustes pour le festival du même nom. A gauche, le Pelican qui attend sa part du gâteau (il est resté ici 3 jours d'affilés...il avait faim le coco!).

Caye Caulker. Le festival de la langouste: concerts de reggae, barbecues, bières locales, ...Pas vraiment extraordinaire mais très réputé (tout le Belize attend cet événement).

Caye Caulker. Sur le ponton en attendant le "water taxi" pour rejoindre Belize City. L'attente fût longue...presque 2 heures de retard "Caye Caulker, go slow!".

Sur le chemin du retour, nous rencontrons l'île de Robinson Crusoé.

Belize City. Cette ville de 60000 habitants est la plus peuplée du pays qui en compte environ 335000.

Le Belize est une monarchie constitutionnelle. Il a pour capitale Belmopan, pour langue officielle l'anglais (seul pays anglophone d'Amérique Centrale) et pour monnaie le dollar bélizien.

Belize City. La plupart des Béliziens sont d'origine multiraciale. Environ la moitié de la population est d'ascendance maya et européenne; 25 % africaine et créole ; 10 % maya et environ 6 % afro-amérindien.

Belize City. L'architecture de la ville n'est pas attrayante, mais l'ambiance "peace and love" de la ville fait tout son charme. Dans toutes les rues, la musique reggae raisonne animée par les rastas qui peuplent la ville.

Belize City. Notre premier stop au Belize, à côté d'un cimetière (un peu glauque mais ça nous a porté chance!).

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Et c'est parti, en route dans "l'ananas mobile" avec un salvadorien. A la fin du trajet nous sommes repartis avec 2 ananas sous le bras, offerts par notre conducteur!

San Ignacio. Pas vraiment intéressante, elle est une ville étape pour traverser la frontière, visiter les ruines maya et les grottes. Sur la photo, la rivière mopan qui borde la ville.

San Ignacio. Old school bus, à l'image des moyens de transport du pays.

Xunantunich. Pour visiter les ruines du même nom, il faut prendre le ferry.

Xunantunich. A 2 km de la frontière guatémaltèque, le petit site archéologique maya de Xunantunich.

Xunantunich. Le Castillo est l'un des principaux vestiges mayas du Belize. Ce temple, flanqué de structures pyramidales, est l'un des monuments majeurs d'une civilisation qui a connu son apogée entre le VIIe et le Xe siècle après J.-C.

Xunantunich. Le gros avantage de ce site est qu'il n'y a pas trop de touristes, on peut donc profiter pleinement des temples et de la vue impressionnante!

Xunantunich. Au loin la frontière du Guatemala.

Xunantunich. Rencontré pendant notre visite, un singe hurleur très gourmand!

Xunantunich. Elle n'est pas si grande que ça cette pyramide!

Frontière Belize-Guatemala. Après une semaine passée au Belize, nous partons pour la ville de Florès au Guatemala.

La vidéo et le bilan, c'est par ici!

Stop dans les ananas

Notre bilan du Belize

 

 

Un peu d’histoire : le Belize est une ancienne colonie britannique, anciennement appelée Honduras Britannique, qui a pris son indépendance en 1981. Il fait néanmoins toujours partie du Commonwealth. C’est d’ailleurs pour ça que le Belize est un pays anglophone (le seul d’Amérique Centrale). A peine on commençait à être super à l’aise en espagnol, qu’il faut revenir à notre bon vieil anglais. Mais attention à bien prononcer avec un chewing gum dans la bouche, sinon les béliziens ne comprennent pas.

 

Côté démographie, la population du Belize est d’origine maya, africaine, créole ou Garifuna. Les Garifunas sont un peuple des Caraïbes, ils seraient les seuls Noirs d’Amérique à ne pas avoir connu l’esclavage.

Nb: Tous les commerces sont tenus par des asiatiques, plutôt rare sur cette partie du continent!

 

Pour ce qui est de la culture, au Belize, on écoute du reggae, on porte des dreadlocks et on fume de la marijuana. On a l’impression d’être en Jamaïque…

 

Le Belize est réputé pour la plongée ou le snorkeling. La barrière de corail, la plus longue de l’hémisphère nord, est une des plus belles qui soit. Le tourisme de style backpacker se concentre principalement sur l’île de Caye Caulker (là où nous sommes allés). Plusieurs bons plans pour dormir sur l’île: l’auberge P.A.W, qui est également un refuge pour animaux, propose des lits en dortoir pour 25 BZD (dollar bélizien) soit 9,60 euros. L’hôtel Vista Al Mar propose des chambres privatives pour 27,50 BZD/pers avec petit déjeuner. Pour ce qui est de la plongée, on a décidé d’attendre le Honduras, beaucoup moins cher pour ne meilleure prestation.

 

La culture culinaire bélizienne est un mélange intéressant des cultures mexicaine, caribéenne et anglaise. On y retrouve du riz, des haricots noirs, des bananes plantains avec du poulet frit et accompagné de coleslaw. On trouve des tacos à la viande hachée avec du fromage en poudre non fondu, des burritos mais aussi des burgers et des frites. Les prix sont assez variables…le mieux étant de manger dans les petits resto’ de rue.

 

En ce qui concerne les béliziens, ce sont des gens formidables, très aimables et prêt à vous aider. Je pense qu’au départ on avait l’air un peu bête avec notre méfiance face à tous ces gens qui voulaient juste nous aider…

 

Au final on a adoré notre court séjour, c’est un pays vraiment différent de ses voisins !

 

Quelques références :

1 BZD = 0,5 USD = 0,4 €

1 repas = 7 BZD

1 bouteille d’eau = 2 BZD

 

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