GUATEMALA 1ère PARTIE - DU 29 JUIN AU 12 JUILLET 2015
ÉQUATEUR 1ère PARTIE - DU 19 DECEMBRE AU 10 JANVIER 2016
Les nouvelles photos, la vidéo, le bilan de l'Équateur et des Galapagos c'est par ici!
A la frontière entre la Colombie et l'Equateur. | San Miguel de Ibarra. Nous profitons de la vue grâce à notre conducteur qui n'a pas hésité à faire un petit détour pour nous montrer la lagune Yahuarcocha et sa piste de sport auto/moto. Très connue autrefois pour avoir accueilli des courses à l'international, maintenant elle sert uniquement à quelque courses pour amateurs. | Otavalo. Très connu pour son marché d'artisanat, le plus grand d'Amérique latine, cette petite ville située à 2h de route de Quito peut se visiter en une journée. |
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Otavalo. Sur la place principale, la place des ponchos, vous trouverez de tout, mais faire attention aux produits, la plupart ne sont pas fait à la main et ne sont pas 100% naturel. | Otavalo. Ce marché indien est très impressionnant pour son authenticité. Chaque samedi sur la place et les rues de le ville, les Quichuas, les indiens de la région d'Otavalo, descendent des montagnes avoisinantes pour vendre leur artisanats. | Otavalo. Cette ville s'est spécialisée depuis des siècles dans la confection d'articles en laines: pulls, tapis, hamac, etc,... Pour notre part nous avons dépensé près de 100$ en souvenirs, c'est notre sac à dos qui n'était pas content! Pour info, nous avons envoyé un colis de 8kg depuis Quito vers la France. Nous avons mis nos souvenirs d'Amérique centrale, de Colombie et d'Equateur. Ça nous a coûté 192 euros, très cher mais plus agréable pour le dos! |
Otavalo. Situé à 2530 mètres d'altitude, cette ville de 42000 habitants est très agréable grâce à son climat et ses gens chaleureux. Ici les femmes sont habillées dans leurs vêtements traditionnels, leur chapeaux et leur dizaine de colliers autour de leur cou. Les hommes eux sont tous avec une queue de cheval très longue et tressée. | Otavalo. Street art. | Otavalo. Vue sur toute la ville avec en arrière plan le volcan Imbabura, sous les nuages, aujourd'hui endormi. Il culmine à 4610 mètres. |
Otavalo. | Otavalo. Entouré par la chaîne de montagnes des Andes. | Quito. C'est la capitale de ce pays de 16 millions d'habitants. Elle est inscrite au Patrimoine de l'Humanité par l'UNESCO depuis 1978. Son centre historique est le mieux préservé et le moins modifié d'Amérique latine. |
Quito. Fondée au XVIe siècle sur les ruines d'une cité inca à 2 850 m d'altitude, possède toujours, malgré le tremblement de terre de 1917, le centre historique le mieux préservé et le moins modifié d'Amérique latine. Sur cette photo, le couvent-église San Francisco, aussi vieux que la ville elle-même. Il possède une impressionnante architecture datant du XVIe siècle, des catacombes réaménagées et une collection de 3 500 œuvres d'art. | Quito. C'est la capitale la plus haute du monde, après La Paz en Bolivie. On compte 1,4 millions d'habitants et 1 million de plus avec la périphérie. | Quito. Deux mamies en train de faire la causette devant le couvent San Fancisco. |
Quito. La Basilique del Voto Nacional, de style gothique, est la plus importante d'Amérique du sud. Elle est née d'un projet d'un architecte français, qui a été inspiré par la cathédrale de Notre-Dame. L'Etat a réellement commencé les travaux en 1892 pour les achever en 1924. | Quito. Street art. | Quito. La capitale de nuit, au musée culturel. |
Quito. | Quito. La place Santo Domingo avec en arrière plan, El Panecillo, une colline se trouvant au sud de la ville, pas très loin du centre historique. Au sommet, se trouve la Vierge de Quito et une vue magnifique sur la ville et ses alentours. | Quito. On s'y déplace assez facilement, dans cette petite capitale, pas comme à Bogota, même si ça prend parfois beaucoup de temps vu qu'elle est très étendue. Ici les lignes du trolé, un bus/tramway. |
Quito. | Quito. La Ronda, une petite rue piétonne colorée, tranquille où l'on trouve des cafés, restaurants et des boutiques souvenirs. | Quito. Il y a quelques années, il était difficile de s'aventurer dans cette rue. Elle était surtout connue pour ses prostitués, drogués, alcooliques... un quartier qui était peu fréquentable à quelques pas du cœur de la ville. |
Quito. Dans chaque grande ville d'Amérique latine, le talent des grapheurs s'exprime. | Quito. Vue panoramique sur la ville depuis l'appartement de notre hôte, mieux qu'un hôtel! Quito est dominé par le volcan Pichincha à 10 km. Le volcan, toujours actif (la dernière éruption à eu lieu en 1999),culmine à 4794 mètres. | Quito. La capitale de nuit, avec ici le clocher de la cathédrale de Quito, l'une des plus anciennes d'Amérique du Sud. Elle se situe sur la place de l’Indépendance. |
Quito. On comprend pourquoi cette ville coloniale est classée au Patrimoine Mondiale. Les musées, les cathédrales, les églises, et l'architecture du vieux continent, font de cette ville un joyaux. | Quito. Un endroit parfait pour avoir une vue splendide! | Quito. Pour faire des photos c'est le top! |
Quito. Pour le couché de soleil c'est encore mieux, avec en prime le sommet enneigé du volcan Cayambe. | Quito. Heisenberg est partout, même sur les panneaux de signalisation. | Mitad del mundo (sur la ligne équatoriale). Le célèbre monument de la moitié du monde ou « Mitad del Mundo » représentant le passage de la ligne équatoriale. Des petits musées très intéressants sont aussi présents dont un sur la France, pourquoi? |
Mitad del mundo (sur la ligne équatoriale). Les Breizh Trotters immortalisent le moment! | Mitad del mundo (sur la ligne équatoriale). Le saviez-vous ? Le monument ne se situe pas exactement sur la ligne équatoriale (à l’époque les outils de mesure n’étaient pas aussi précis que maintenant). La latitude 0 se trouve en fait 200 mètres plus loin à l’emplacement du musée Inti Nan. | Papallacta. Les eaux thermales de Papallacta, à 1h30 de Quito, très relaxantes surtout quand il fait 15 degrés dehors. Un endroit très sympa, très prisé des habitants de Quito. |
Papallacta. Nous nous y sommes rendus avec Pedro, notre ami rencontré 4 mois auparavant au Panama, et sa mère. Il nous ont invité à passer Noël avec eux en famille. En Equateur, c'est un moment bien plus important qu'en France, il répond à certaines traditions catholiques oubliées depuis longtemps chez nous. | Sur la route entre Quito et Guayaquil. | Sur la route entre Quito et Guayaquil. |
Salinas. Le Cancun équatorien! Une petite ressemblance avec la ville mexicaine, mais en plus petit et moins bruyant! Cette station balnéaire est très prisée des habitants de Guayaquil. | Salinas. La Chocolatera. Nous sommes le plus à l'ouest possible du pays. On surnomme cette pointe "la Chocolatera" non pas parce qu'il y a du chocolat mais parce que "choco" signifie "choc" et "tera" pour terre, le choc de l'océan pacifique contre la terre ferme. | Salinas. Un mirador pour admirer le couché de soleil sur la ville. A gauche, se trouve une importante base de la marine équatorienne, un aéroport, l'Université de l'Armée de l'air équatorienne, ainsi qu'un centre de sélection et de formation des pilotes de l'Armée de l'air. Bien équipé ces équatoriens? |
Salinas. On adore les couchés de soleil! | Salinas. Des loups de mer se reposant sur des rochers. | Salinas. Ce n'est pas la fête foraine, ce sont des marionnettes ou " año viejo" en papier, en cartons ou vieux vêtements, farcies de pailles avec souvent des feux d'artifices à l'intérieur. Elle sont brûlées le 31 décembre à minuit et symbolisent les mauvais moments de l'année passée qu'on veut oublier. |
Salinas. Elles représentent souvent des personnages de dessins animés ou films. | Salinas. Le nouvel an approchant, les équatoriens montrent fièrement leur "año viejo" sur les toits des voitures ou sur le pare choc. | Montañita. Le nouvel an à Montañita, c'est quelque chose! Ce petit village est connu dans toute l'Amérique du sud pour ses bars, restaurants et surtout discothèques. C'est tous les jours la fête! Ce 31 décembre nous étions un bon millier à célébrer le nouvel an, avec des feux camps, lanternes et feux d'artifices sur la plage. |
Montañita. Le lendemain c'est une foule énorme qui vient se reposer et se baigner... avant de poursuivre les festivités! Nous y avons passé trois soirées: de la folie! | Puerto Lopez. Un petit port de pêche sur la "ruta del sol", la route du soleil. | Puerto Lopez. Depuis le canoë. |
Puerto Lopez. Un couché de soleil comme on les aime. | Puerto Lopez. Accompagnés de Margaux et Mathurin, un couple picard, voyageant autour du monde en stop. Cela fait 1 an et demi qu'il sont partis de France, en ayant traversé l'océan atlantique en bateau stop. Ils sont maintenant en Amérique latine! Pour plus d'infos : http://alentourdumonde.wix.com/tdm2 | Machalilla. Notre compagnon de table! |
Salango. | Salango. | Salango. |
Machalilla. Un autre petit port de pêche, à quelques kilomètres de Puerto Lopez. | Salango. | Los frailes. |
Los frailes. | Machalilla. Toujours en stop et sous près de 40 degrés! |
GALAPAGOS - DU 11 AU 15 JANVIER 2016
Nous voilà dans l'avion, en direction des îles Galapagos. C'est un archipel de l'Equateur, situé dans l'Océan Pacifique, à seulement 2h d'avion de la capitale du pays. | Puerto Ayora. Ville appartenant à l'île de Santa Cruz. C'est également la plus grande ville des Galapagos. | Puerto Ayora. L'archipel est constitué de 48 îles et de rochers, mais seulement 19 sont réellement des îles! Toutes les îles sont de formation volcanique. |
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Puerto Ayora. L'archipel accueille le parc national des Galápagos (100dollars l'entrée) et la réserve marine des Galápagos, appartenant au patrimoine mondial de l'Unesco. | Puerto Ayora. Station Charles Darwin. Vous ne le savez peut-être pas, mais en 1835, Charles Darwin, le célèbre naturaliste britannique, y étudia la diversité des espèces présentes. Il publia à partir de ses observations sa fameuse étude sur l'évolution en 1859. | Puerto Ayora. L'archipel abrite pas moins de 58 espèces d'oiseaux dont 28 sont endémiques, des reptiles uniques, dont les tortues géantes ou les iguanes terrestres et marins. |
Puerto Ayora. Pour se restaurer le soir, avec un bon petit poisson frais ou une langouste! | Puerto Ayora. La faune sous-marine est exceptionnelle, elle comprend l'iguane marin, près de 300 espèces de poissons, dont des petits requins des Galápagos, de petits mammifères comme l'otarie des Galápagos, et des cétacés comme la baleine à bosse. | Isla Santa Cruz. " Profitez du paysage, il est unique au monde". Je trouve cette phrase bien justifiée! |
Isla Santa Cruz. La tortue géante des Galápagos est l'une des plus grosses tortues terrestres au monde. Elle mesure environ 1m20 pour 225kg et elle vit en moyenne 125 ans, la plus vieille a vécu 175 ans. | Isla Santa Cruz. Un des petits villages de l'île. | Isla Santa Cruz. Attention aux tortues! Pour information, il est interdit de les toucher! |
Isla Santa Cruz. | Isla Santa Cruz. Au confluent de trois courants océaniques, les Galápagos sont un foyer important d’espèces marines. L’activité sismique et le volcanisme toujours en activité illustrent les processus qui ont formé ces îles. | Isla Santa Cruz. Aucun autre site au monde ne peut offrir une telle expérience de plongée sous-marine dans un milieu d’une telle diversité de formes de vie marine. |
Isla Santa Cruz. Un spectacle incroyable! | Isla Santa Cruz. Actuellement, les principales menaces pour les Galápagos sont la pêche illégale, l’introduction d’espèces invasives ou encore le développement du tourisme. | Isla Santa Cruz. Un iguane marin se faisant sécher au soleil. |
Isla Santa Cruz. Une belle rencontre pendant une séance de plongée. C'est vraiment apaisant de les regarder nager. | Isla Santa Cruz. Un paysage volcanique au milieu de l'Océan, un endroit unique au monde. | Isla Santa Cruz. C'est l'heure la sieste pour les 2 mammifères. |
Départ pour Isla Isabela. | Isla Isabela. C'est l'île la plus grande archipel avec une superficie de 4588km2. Elle représente 60% de la superficie totale des terres des îles Galapagos. | Isla Isabela. Sur cette île, vous pouvez observer les manchots , cormorans, iguanes marins, des fous, des pélicans, des phoques, des crabes rouges, des flamants roses, ... Autant dire une sacrée faune! |
Isla Isabela. | Isla Isabela. Petit tour à vélo pour admirer la côte et les volcans. Il faut savoir que sur cette île, tout y est très cher: eau, repas, tour touristique, ... | Isla Isabela. Un peu de sport sous un soleil de plomb (entre 35 et 39 degrés). |
Isla Isabela. Un cimetière local avec des tombes ornées de cactus. | Isla Isabela. Une tortue qui se fait dorer la pilule au soleil. | Isla Isabela. Nous sommes allés visiter un centre d'élevage de tortues géantes. Au total, il y a 330 tortues entre les jeunes et les adultes. |
Isla Isabela. On s'arrête aux abords de la lagune "Las Salinas" afin d'admirer au loin des flamands roses. | Isla Isabela. | Isla Isabela. |
Isla Isabela. Couché de soleil sur l'île. | Isla Isabela. Il va falloir sauter par dessus histoire de ne pas se faire mordre... | Isla Isabela. Un petit pingouin qui fait sa promenade. Impossible de nager avec, ça fonce ces petites bêtes! |
Isla Isabela. | Isla Isabela. | Isla Isabela. Ils dorment partout aux abords des plages, sur les bancs, les bateaux, les quais, ... |
Isla Isabela. Le fou à pieds bleus, un oiseau maladroit sur terre, d'où son nom de fou. | Isla Isabela. Los tuneles: un paysage volcanique entre terre et mer. Un paradis pour les fans de plongée: des milliers de poissons, tortues et requins. Un aquarium géant! | Isla Isabela. Los tuneles. |
Isla Isabela. | Isla Isabela. | Isla Isabela. Un petit cheval de mer. Quasiment impossible à voir au milieu des algues! |
Isla Isabela. Regarder les raies mantas... il n'y a rien de plus relaxant! | Isla Isabela. | Isla Isabela. Le requin à pointe blanche. |
Isla Isabela. Une tortue marine. |
ÉQUATEUR 2ème partie- DU 16 AU 29 JANVIER 2016
El Boliche. Le fameux train qui vous emmène à travers les Andes: de Quito, au pied de l'un des plus hauts volcans actifs dans le monde, le Cotopaxi. | El Boliche. Notre prochain pull :) | Baños. Proche de jungle et au pied du volcan Tungurahua, l'un des volcans les plus actifs en Équateur, la ville de Baños est une destination très touristique, appréciée et reconnue pour les vertus relaxantes des piscines thermales auxquelles la ville doit son nom, mais aussi pour les sports extrêmes qu'elle propose. |
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Baños. Cette ville de 20000 habitants est parfait pour pratiquer divers sports d'aventure tels que: rafting, kayak, canyoning, escalade, saut à l'élastique, équitation, promenades dans la nature, la canopée, VTT,... | Baños. | Baños. La ville de nuit est mouvementée entre les nombreux bars, restaurants, discothèques, ... A cette période là, la ville est prise d’assaut par les étudiants argentins. |
Baños. | Baños. "Casa del arbol", la maison de l'arbre, située dans le hameau Runtun à 2600 mètres d'altitude, permet notamment d'observer durant les beaux jours, le volcan Tungurahua. | Baños. "Casa del arbol". Vous pouvez également faire un petit tour de balançoire au dessus du vide! Sympa non? |
Baños. | Puyo. Petite session de rafting sur le fleuve Pastaza en compagnie d'argentins (et seulement d'argentins). | Sur la route pour rejoindre Puyo. Cette ville marque le début de l'entrée dans l'Amazonie, c'est également la capitale de la province de Pastaza. |
Puyo. Centre de soin et d’accueil de la faune sauvage, situé sur un hectare de forêt primaire, près de la ville de Puyo, en Equateur. | Puyo. Nous avons eu l'occasion de visiter Puno et ses alentours en passant par un tour d'une journée. | Puyo. |
Puyo. | Puyo. | Communauté de Cotococha. Visite de cette communauté Quichua pour connaître sa culture, sa manière de vivre, ses rites. |
Communauté de Cotococha. Dégustation de la chicha, boisson traditionnelle préparée à base de maïs, d'arachide ou de manioc. | Communauté de Cotococha. | Communauté de Cotococha. |
Communauté de Cotococha. On essaye la sarbacane... pas facile à utiliser. | Communauté de Cotococha. | Rio Pastaza. C'est un long fleuve qui traverse l'Equateur et le Pérou. Il a une longueur de 643 km, dont environ 370 km qui traversent le territoire amazonien du département de Loreto au Pérou. |
Puyo. Remède naturel pour le nez bouché. Et ça débouche bien...ça pique aussi! | Puyo. C'est la saison des pluies, la grenouille est de sortie. | Puyo. Balançoire improvisée dans la fôret. |
Puyo. | Cuenca. Cette ville est situéd dans la partie sud de la Cordillère des Andes. Son centre historique a été déclaré partie du patrimoine mondial par l'Unesco en 1999 . | Cuenca. Elle est appelée l'Athènes de l'Equateur pour son architecture, sa diversité culturelle, sa contribution aux arts, aux sciences et lettres équatoriennes et pour être le lieu de naissance de beaucoup de gens célèbres de la société équatorienne. |
Cuenca Cuenca est la troisième plus grande ville de l'Équateur après Quito et Guayaquil, mais elle conserve néanmoins intactes de nombreuses traditions et particularités anciennes, avec une grande influence Inca. | Cuenca. Dans le centre, vous pouvez voir deux grandes cathédrales: La cathédrale de l'Immaculée Conception, aussi appelée Nouvelle cathédrale, et l'Eglise du Sacré ou connu comme la vieille cathédrale, les deux icônes du pouvoir et de l'influence religieuse de la ville. | Cuenca. |
Cuenca. | Cuenca. Manger sur le pouce dans la rue! | Cuenca. |
Cuenca. | Cuenca. Site archéologique tomebamba: Considéré comme le plus grand site inca de tout l'Equateur, la limitation des pierres laisse, en effet, envisager un site gigantesque et la vue que l'on obtient sur le jardin botanique et tout Cuenca est vraiment sympathique. | Cuenca. |
Cuenca. | Cuenca. | Cuenca. |
Las cajas. Le paysage du Parc National de Las Cajas est caractérisé par plus de 200 lacs d’altitude. Situé à une altitude comprise entre 3000 et 4450 mètres, son climat est très changeant, mais de belles et innombrables randonnées à pied sont toujours possibles. | Las cajas. Nous avons dont décidé de partir en randonnée pour 2 jours dans ce magnifique et immense parc. Sac à dos sur le dos, tente, quelques provisions et op! | Las cajas. Situé à une heure de voyage de la ville de Cuenca, le Parc National Cajas a une surface d'environ 29,000 ha. |
Las cajas. Le parc national de Las Cajas est la principale source d'eau potable de la ville de Cuenca et par conséquent, le gouvernement a fait un accord de gestion avec l'administration municipale pour l'eau potable afin de gérer le parc en son nom. | Las cajas. | Las cajas. Un petit peu de pluie...enfin beaucoup! Juste avant d'installer notre campement pour la nuit... autant dire que ça n'a pas été une partie de plaisir! |
Las cajas. Le lever du jour sur la lagune de Taitachugo. A quelque mètres de notre tente derrière une colline, trois cerfs étaient en train de boire l'eau de la lagune, un moment magnifique mais trop rapide pour pouvoir les prendre en photo. | Las cajas. Se lever tranquillement dans la nature avec juste le bruit des oiseaux! | Las cajas. |
Las cajas. | Las cajas. Le Justin Bieber local! | Depuis la sortie de la ville de Cuenca, la police nous a pris en stop sans nous demander notre avis! Très habitués à voir des étrangers lever le pouce sur les bords des routes, ils n'ont pas hésité une seul seconde et nous ont avancé sur une centaine de kilomètres. Plus d'une demi heure en écoutant à fond du reggaeton et de la bachata, les deux genres musiquaux préférés des équatorien, ambiance latina! Ce n'est pas chez nous qu'on verrait ça! |
Pour rallier la ville de Loja depuis Cuenca dans le sud du pays, les paysages andins sont magnifique, comme toujours. | Avec notre camionneur du jour, Juan, un habitué qui prend souvent des auto-stoppeurs sur son chemin. Un vrai moment d'échanges et de partages où il nous a gentillement offert des délicieux sandwichs et une boisson en guise de quatre heure. | Vilcabamba. Un petit village très prisé des retraités Nord-Américains, est situé à 1500 mètres d'altitude à 45 km de Loja. Cette petite bourgade est très apprécié du fait de son climat agréable, entre 18 et 28 degrés toute l'année. |
Vilcabamba. Dans ce petit village, un boulanger français c'est même installé. Depuis 19 ans, on y trouve de bonnes viennoiseries, de bons fromages à l'européenne (très rare en Amérique latine) et des plats du jour, un petit goût français dans ce petit pays! |
L'Équateur
Notre bilan de l'Equateur
Nous avons passé 43 jours en Equateur, entre le Nord, le Sud, la côte, les Andes et les îles de Galapagos. Lorsque l’on parle de l’Equateur, on pense plus souvent à cette ligne imaginaire qu’au pays du même nom. On s’est très peu renseignés sur le pays avant d’y mettre les pieds, de ce fait, nous ne nous attendions à rien en particulier. Ce fût une belle surprise ! Ce petit pays au relief très diversifié, offre une grande variété de paysages et d’importantes ressources naturelles. Un endroit unique, très attrayant pour les touristes ! Un mélange surprenant de faune, de flore, d’ethnies et de langues (plus de 10 langues parlées dans le pays). De même pour son histoire : des descendants des Incas, des Européens, des Africains ou encore des Asiatiques ont habité ce pays territoire, y apportant leur lot de traditions et de coutumes !
Parlons auto-stop : une vraie partie de plaisir ! Les équatoriens sont des personnes relativement « à l’aise » avec ce mode de transport. Nous avons pu traverser facilement le pays tout en faisant de nouvelles rencontres !
Pour ce qui est de notre trajet, nous avons commencé par la ville d’Otavalo, au nord. Charmante petite ville, nationalement connue pour son marché d’artisanat (le plus grand d’Amérique latine) vraiment impressionnant. Vous y croiserez des indiens aux cheveux longs et tressés, des personnes attentionnées et sympathiques ! En résumé, une halte forte agréable pour bien entamer l’Equateur ! Ensuite nous avons rejoint Quito, la capitale du pays avec ses 2 millions d’habitants. Sur place, nous avons séjourné chez Pedro, rencontré au Panama à Boca del Toro. Avec lui nous avons passé de supers moments : découverte de la ville, de la gastronomie, des coutumes, … Nous avons également rencontré sa famille qui nous a gentiment proposé de fêter noël avec elle. Ainsi, nous avons festoyé avec eux autour d’un délicieux repas qui s’est terminé par le traditionnel jeu de carte équatorien, le 41, le tout agrémenté de quelques bières ! Pour revenir à Quito, son centre ville (inscrit au Patrimoine Mondial de l’UNESCO) est assez sympa bien que très (ou trop) fréquenté par les touristes. Le plus sympa étant de visiter les alentours de la ville : volcans, trecking, eaux thermales, … . Ce qui nous a le plus « déplu », c’est le bruit. Il est présent partout et à tout moment de la journée ! Prévoyez des « boules quies ».
Par la suite nous avons rejoint Guayaquil, toujours en compagnie de Pedro. Comment dire…nous n’avons vraiment pas aimé cette ville ! Trop grande, rien d’intéressant à faire si ce n’est sortir le soir, c’est bruyant, il fait chaud (trop chaud), c’est pollué, les gens ne sont pas spécialement amicaux, … Bref, comme vous avez pu le comprendre, nous avons vite dégagés vers la prochaine destination, la ville de Salinas. Cette station balnéaire est très fréquentée des habitants de Guayaquil et du président de la république, Rafael Correa. Ici, nous avons fait un couchsurfing chez Skarleth et toute sa famille. Après 2 jours à la plage, nous nous sommes dirigés vers les plages de Montanita avec notre amie couchsurfeuse afin de fêter le nouvel an. Après deux jours de fêtes nous continuons notre périple vers Puerto Lopez afin de rejoindre 2 tourdumondistes, Margaux et Mathurin, de Picardie. C’est ici que nous avons également rencontré Laure et Michel, 2 français du sud de la France. Il y a quelques années, ils ont traversé l’Amérique du Sud à vélo (sur les pas du Ché). Ils nous ont gentiment proposé de nous déposer à Quito au passage ! Trop bien ! Du coup nous revoilà à Quito pour quelques jours afin de préparer la suite des aventures, Banos, Las Cajas, Cuenca et pour finir Loja. Au programme : excursion aux portes de l’Amazonie, randonnée dans les montages, fêtes entre amis, visites de petits villages, … Il y a beaucoup d’activités et de choses à visiter en Equateur, impossible de s’ennuyer ! Des sommets enneigés, des volcans majestueux, des villes coloniales, … Le tout dans un petit pays charmant et très propre.
Nous avons pas mal utilisé le couchsurfing en Colombie, est cela fonctionne super bien ! Nous avons fait de superbes rencontres, comme à Cuenca, Salinas ou encore Loja.
En ce qui concerne la cuisine équatorienne, les plats ne sont pas très variés. De manière générale, on vous propose du riz et de la salade, le tout accompagné de viande. Bref, on ne visite pas le pays dans l’espoir de se remplir la panse. Cependant, si vous souhaitez gouter à quelque chose de différent, vous pouvez toujours essayer le « cuy », c’est-à-dire le cochon d’inde cuit au four. Pourquoi pas ?!
Pour les côtés négatifs, on peut parler du fait que la monnaie nationale, le dollar, rend le coût de la vie un peu plus cher (excepté pour les transports). On a également eu un petit peu de mal avec les Equatoriens, un peu trop « mous » à notre goût. Il faut souvent être très patient avec eux, que ce soit dans les restaurants, dans la rue, dans les épiceries, … Peut être aussi qu’on est un peu trop rapide à leur goût…
En résume, l’Equateur est un petit pays très diversifié qui vous en mettra plein la vue !
Quelques références :
1€ = 1,09$
1 bouteille d’eau = 1$
1 nuit à l’auberge de jeunesse = 7,5$/pers
1 repas = entre 2$ et 3$
Les Galapagos
Au début de notre voyage, nous avions mis cet archipel entre parenthèse du fait de son coût, même un mois à l’avance nous ne voulions plus partir. Mais le 30 décembre, deux semaines avant de partir, nous avons regardé les prix pour une dernière fois. Nous sommes tombés sur un aller-retour depuis Quito, à 175 euros ! Du coup nous avons booké nos billets pour un séjour de 5 jours, 4 nuits.
A Quito, nous avons payé une carte d’accès aux Galapagos de 20 dollars et sur l’île nous avons payé, une fois de plus, un droit d’accès de 100 $. Arrivés en début d’après midi sur l’île principale, Santa Cruz, nous avons attendu très longtemps la navette (5$) pour rejoindre Puerto Ayora, la plus grande ville des îles. Aussitôt arrivés, nous faisions la connaissance de Robert, notre couchsurfing, qui nous a hébergé dans son hôtel pendant deux nuits. En fin de journée nous avons pris les vélos, prêtés par notre hôte, pour visiter le refuge des tortues géantes de Charles Darwin, non loin du centre de la ville. Le soir venu, Robert nous proposa de louer un kayak deux personnes (30 $) pour aller sur les côtes de Puerto Ayora. Une superbe journée où nous avons nagé avec les tortues, poissons, otaries…
Le lendemain, nous avons pris la navette (60 $ aller-retour par personne + 3 $ de transfert) pour aller sur l’île d’Isabela. Nous avons du encore payer, cette fois 5 $ d’accès à l’île. Nous avons cherché un hôtel et l’hospedaje GladisMar répondait à nos attentes : 60 dollars pour deux nuits à deux avec cuisine et wifi. Comme nous n’avions pas trop le temps, nous nous sommes dépêchés de louer des vélos pour la demi journée qui restait (10 $ pour les deux) afin d’admirer les flamands roses et une partie de la côte. Le lendemain, nous sommes partis pour un tour en compagnie de 12 personnes. Le tour des «los tuneles» (95 $/personne), une virée de 6h sur bateau, est LE tour à faire ! Comme sur les photos, nous avons pu admirer des requins, des hippocampes, des tortues géantes… un moment privilégié et inoubliable!
Le lendemain, nous sommes repartis pour l’île principale afin de dire au revoir à notre couchsurfing. Puis, nous avons pris un taxi (15 $) pour rallier l’embarcadère du ferry qui mène à l’aéroport (1 $ par personne). Deux heures plus tard, nous étions de nouveau à Quito, la tête pleine de souvenirs et des étoiles plein les yeux !
Pour manger, les prix sont un peu supérieurs que sur la terre ferme. Un déjeuner nous coûtait 3 $, le repas du midi 5 et pour le soir, entre 6 et 10, tout dépend de ce que l’on souhaite manger. Le soir, à Puerto Ayora, vous pouvez vous rendre dans la rue des restaurants où l’on peut manger toutes sortes de poissons et crustacés pour un prix raisonnable.
Au total, notre passage sur les îles Galapagos nous est revenu à 572,65 dollars par personne, une très grosse somme mais des souvenirs à jamais gravés dans la tête !
Un bon conseil : achetez quelques produits alimentaires avant de vous rendre dans l'archipel, certains hôtels et auberges possèdent des cuisines comme celui sur l’île d’Isabela. Et dépêchez-vous d’y aller si vous êtes tenté, car au 1er janvier 2017, le gouvernement équatorien pourrait bien augmenter le droit d’accès de 100 à 200 dollars ! Des îles pour les privilégiés ou pour les gens qui savent bien se débrouiller :)